Docteur en Philosophie, Ecrivain, Intellectuel engagé pour l'Etat de droit en l'Afrique et la réforme équitable des relations internationales
Rouen - France
Mes rêves éveillés pour un monde véritablement humain justifient tous mes combats.
Dans ce blog, je vous invite à apprécier, discuter et partager avec moi, des idées pour une politique internationale1…
exigeante en dignité pour tous les humains; des propositions pour la consolidation de l'Etat de droit en Afrique; des questionnements sur les impasses de la mondialisation en cours.
Vos remarques, contributions et partages sont évidemment ici, les bienvenus.
Cordialement et chaleureusement votre,
Franklin Nyamsi WK
A l'occasion de la tentative de coup d'Etat ratée par le régime Ouattara contre le député ivoirien Guillaume Soro à l'Assemblée Parlementaire de la Francophonie à Rabat, l'ensemble des groupes parlementaires de l'opposition se rassemble comme un seul homme derrière Guillaume Soro. Le leadership de Guillaume Soro dans l'opposition se confirme.
Nommée récemment sénatrice par un décret de l'autocrate ivoirien Alassane Ouattara, Mah Sogona Bamba vient d'appeler, au détour d'un échange avec le Professeur Franklin Nyamsi Wa Kamerun, à la libération de tous les prisonniers politiques de Côte d'Ivoire. Captures d'écran, pour la postérité. Le début de la fin de la lâcheté des créatures de Ouattara?
Placé à la tête du parlement ivoirien par l'autocrate Alassane Ouattara, le député Amadou Soumahoro surnommé Cimetière n'arrête pas de défrayer la chronique. IL a frauduleusement substitué le Règlement Intérieur de l'Assemblée Nationale en vigueur depuis le 27 juillet 2018 par un Règlement illégal, datant du 1er juin 2006, pour masquer ses infractions.
L’affaire défraie la chronique depuis plus d’une semaine. Une injustice intolérable, masquant mal un soutien coupable de certains milieux occidentaux stipendiés à la dictature émergente d’Alassane Dramane Ouattara en Côte d’Ivoire. L’affaire menace d’implosion la plus puissante organisation parlementaire francophone du monde.
A l’assemblée nationale de Côte d'Ivoire, c’est toujours le branle-bas autour de la formation du bureau de l’institution. Mardi, trois groupes parlementaires de l’opposition ont décidé de se retirer de la médiation après avoir fait ‘’un constat d’échec’’. Ils ont également décidé de ne plus faire partie du bureau tel que voulu par Amadou Soumahoro qui marcherait, selon eux, sur les textes.
Invitée par la délégation française du PDCI RDA, l’AIAGKS a illuminé de par sa présence remarquable, la journée du 08 Juin 2019, sur les bords de la seine, à l'occasion d'un meeting organisé par la jeunesse du plus ancien parti politique de Côte d'ivoire.
Guillaume Soro dénonce le désordre instauré à la tête de l'APF par les contradictions de l'organisation dans le traitement des crises africaines. Le canadien François Paradis sème décidément la zizanie dans l'opinion citoyenne africaine. Où va donc l'Assemblée Parlementaire de la Francophonie, avec cette allure de bateau ivre?
Le 1er Vice-Président de l'Assemblée Parlementaire de la Francophonie Guillaume Soro pointe les graves violations démocratiques cautionnées en Côte d'Ivoire par les députés François Paradis ( canadien, Président de l'APF) et Jacques Krabal (français, Secrétaire Général Parlementaire de l'APF). La crise parlementaire ivoirienne devient dès lors une crise internationale.
Le Bénin et la Côte d'Ivoire, pays ouest-africains, connaissent de graves crises parlementaires . L'APF, curieusement, dénonce uniquement les violations de la démocratique dans l'un des cas, alors que les mêmes règles sont violées dans l'autre cas, qu'elle préfère ignorer par un curieux principe de non interférence qui cache mal sa complaisance envers le régime Ouattara.
Le Leader ivoirien Guillaume Soro dénonce une forfaiture ourdie par un réseau immoral. Le Président de l'Assemblée Parlementaire de la Francophonie (APF) François Paradis et le Secrétaire Parlementaire de l'APF Jacques Krabal font l'objet d'une vigoureuse dénonciation des parlementaires ivoiriens irrégulièrement et illégalement spoliés de leur représentation dans l'APF par le régime Ouattara.