"A quoi peut servir la dialectique aux anti-capitalistes du XXIème siècle ?" C'est la question que j'ai posée dans cet article publié dans la version electronique de la revue contretemps qui, en retraçant la généalogie de la dialectique, montre dans quelle mesure elle peut devenir une "boussole" aux pensées critiques.http://www.contretemps.eu/interventions/quoi-peut-servir-dialectique
Alors que le PS renonce officiellement à la lutte des classes et attaque le Front de Gauche sur ce sujet, l’Humanité publie aujourd’hui un sondage selon lequel pour 64% des sondés la lutte des classes est une réalité[1]. Je me suis dit qu’un petit détour par le « Talon de fer » de Jacques London mettrait un peu de plomb dans la tête des socialistes et nous rappellerait ce que peut être une ligne classe contre classe pour reprendre l’expression de Cambadélis[2] (même si elle a été dénaturée par son utilisation par le PCF en 1928).
La polémique autour du cas Depardieu est révélatrice de deux choses selon moi : l’emprise idéologique du libéralisme d’une part et la solidarité de classe des riches d’autre part. Je vais essayer de profiter du cas « Depardieu » pour analyser ces deux points.
Nous, citoyen-ne-s engagé-e-s, militant-e-s de l’ACU, de C&A, de la GA, de la GU, de la FASE et écologistes de l’alternative, partageons une même volonté de changer le monde. Nous luttons pour un monde débarrassé de l’exploitation capitaliste et de toute forme de domination entre les êtres humains.