Une vie vouée à l'écriture. Journaliste dans le sud par le rugby d'abord (!) Engagé dans le combat pour une société solidaire et fraternelle. Contre le profit, la croissance et le nationalisme. Insoumis,1…
indigné, permanent. Utopiste paraît-il. Et c'est bien triste....
Nous sommes entrés dans l'ère du tout-numérique, de l'hyper-connectique, du modèle quantique. L'informatique s'est substituée à toute éthique. On ne reviendra pas dessus, d'autant qu'on nous l'impose, nous l'assène comme on nous vaccine. Sans rémission. Sachons alors voir le positif et reconnaître que la 5G peut joliment ouvrir le champ des fantasmes
Cela fait donc des semaines, que dis-je, des mois que l'on emmerde les gens avec des couvre-feux, des distanciations, des stop-Covid et tout un tas de gadgets, de mesurettes et de déclarations pontifiantes dont l'estampille macronienne est terrifiante.
Lorsqu'on n'est pas trop porté sur les piqûres en général, les vaccins en particulier et que l'on développe en plus une allergie certaine aux injonctions et autres culpabilisations, la période n'est évidemment pas la plus propice aux rêveries. Restons attentifs....
Cela fait plus de dix ans que je ne regarde plus le rugby à la télévision. Ça ne me manquait pas. Mais hier, il y avait un ami à la maison que j'avais envie d'épauler dans son match sur canapé. Contre les Anglais, fallait au moins ça !
Nous allons aujourd'hui, si vous êtes d'accord, nous égarer. Et ouvrir nos cahiers. J'en devine qui font déjà la tête. Mais je veux vous rassurer, on va pas se la prendre pour autant. Y aura bien un moment où l'on se fera plus légers, enfin moins sérieux. C'est pas mal aussi de s'égarer, puis de s'y retrouver. Ou pas d'ailleurs.
Bonjour ! Rassurez-vous ou lamentez-vous selon vos sensibilités, je ne fais aujourd'hui que passer. Pas le temps. J'ai du chantier en cours, du lait sur le feu, de la pâte à lever, du grain à moudre, d'autre chats à fouetter et tout ce qui s'ensuit de formules à deux balles. Mais je me dépêche, pas le temps, disais-je.
Il y a quelques semaines une ancienne sous-ministre de Jospin (2001-2002) franchissait la frontière et le Rubicon pour s'en aller mourir en Suisse. Paulette Guinchard-Kunstler avait souhaité que ce pénible exil pour une mort sans souffrance et dans la dignité, fasse l'objet d'un témoignage. C'est son amie Marie-Guite Dufay qui l'a transmis via "Libé"
Un an juste après les premiers signes de cette crise sanitaire, devenue aussi le symbole d'un tassement de l'activité, si ce n'est d'une décroissance ô combien salutaire, les aristocrates de la finance, les démons de la consommation réapparaissent fier comme Artaban pour claironner le retour du business et de la débauche économique
J'ai des copains scientifiques, soit dans l'action, soit dans la collaboration, qui voudront me démontrer que je fais zéreur et que cette nouvelle mission américaine dite " Persévérance " débouchera un jour sur une transformation de l'humanité. Ah bon, si vous le dites !
Quelle que soit l'issue de cette impayable COVID qui nous a mis le monde sens dessus dessous - et dessous c'est pas cher ! - on retiendra incontestablement la performance inouïe de l'état français. Celle-là, on nous l'aurait racontée hors contexte, dans le cadre d'une extrapolation délirante, elle nous aurait tout de même bien fait marrer.