Une vie vouée à l'écriture. Journaliste dans le sud par le rugby d'abord (!) Engagé dans le combat pour une société solidaire et fraternelle. Contre le profit, la croissance et le nationalisme. Insoumis,…
indigné, permanent. Utopiste paraît-il. Et c'est bien triste....
Ce pays va mal ! Pas un seul économiste n’est en mesure de soutenir le contraire et beaucoup d’entre-eux aimeraient pourtant qu’il en soit autrement tant leur attachement, leur soumission, leur dévotion à la Macronie leur est consubstantiel. Et pourtant ils continuent de faire semblant et de faire diversion avec une réforme dont ils espéraient qu'elle fasse division
Décidément, c’est à se demander si ce plancher de retraite repoussé de deux ans n’est pas un peu pourri. Certes cela paraît moins grave que s’il s’était agi du plafond, mais enfin si l’on tombe du 64e étage, cela doit faire un peu mal quand même !
Y a des jours, quand je vois le prix des patates et du gazoline, je me demande où qui sont, les gilets jaunes ! Bon, d’un côté et n’ayant absolument aucune légitimité à délivrer des leçons de courage, je les comprends !
Figurez-vous que j’ai failli vous parler de Dussopt. Qui ça ? Oui je sais, personne de normalement constitué ne connaît ce nom ! C’était un type que je croyais plutôt bien. Voyez que ça m’arrive de trouver des gens bien. Et alors ça m’énerve doublement lorsque je me trompe ! Le type qui se prétendait de gauche et ami de Benoît Hamon, est parti avec Macron.
Figurez-vous que j’ai failli vous parler de Dussopt. Qui ça ? Oui je sais, personne de normalement constitué ne connaît ce nom ! C’était un type que je croyais plutôt bien. Voyez que ça m’arrive de trouver des gens bien. Et alors ça m’énerve doublement lorsque je me trompe ! Le type qui se prétendait de gauche et ami de Benoît Hamon, est parti avec Macron.
Si l'avenir apparait aussi sombre pour les futurs retraités que pour le gouvernement Borne, il est un autre pays où la pression monte en même temps que le ton. Maltraités et ubérisés à bloc par la politique ultra-libérale de la Dame de fer et jamais remise en cause depuis, y compris par les travaillistes -les amis de Hollande et Cazeneuve - l'Angleterre est menacée de black-out social
C'est bien joli cette histoire de retraite. Faut continuer. Et ceux qui n'ont pas encore bougé, ben faut y aller ! A moins que vous ne soyez de cette belle nature humaine, qui considère que les gens sont sur terre pour en chier et servir de chair à travail pour ceux qui s'engraissent en permanence. Mais il serait bon aussi de se pencher sur les ravages de l'inflation non maîtrisée
La retraite, ceux qui ont travaillé dur vous le diront, ce n’est pas un luxe, c’est une nécessité. Je conçois aisément qu’un type, généralement une
« tête d'œuf » qui n’a jamais rien fait d’autre au boulot que de penser - bien souvent de travers –, persiste dans l’erreur en imaginant que l’on peut bosser indéfiniment.
C'était tellement chouette, cette manif sous le soleil froid de Lozère, que je ne résiste pas au plaisir de vous la raconter. Mais avant d'entamer mon petit délire coutumier, je dois dire combien j'ai aimé voir à Mende - honorable - tous les syndicats main dans la main et ceux de la Nupes pas loin, unis pour la même cause. Celle de l'humain contre la machine libérale à broyer.
Il me tarde évidemment de compter le nombre de manifestants, même s’il est probable qu’entre les deux extrêmes de la police et de la CGT, il sera compliqué de connaître la vérité. Qu’importe il ne s’agit pas de tenir des comptes d'apothicaires gouvernementaux, mais de mesurer l’intensité du mouvement. Son intensité, sa vivacité et sa constance.