Une vie vouée à l'écriture. Journaliste dans le sud par le rugby d'abord (!) Engagé dans le combat pour une société solidaire et fraternelle. Contre le profit, la croissance et le nationalisme. Insoumis,1…
indigné, permanent. Utopiste paraît-il. Et c'est bien triste....
Comme si le choix du lieu en lui-même – Duabaï et les Emirats -, signe d'une certaine démission, voire d'une renonciation, ne suffisait pas, on retrouve sur le terrain de jeu la COP28, moins de militants écologistes ou de dirigeants bienveillants que de lobbyistes forcés autant que haut-placés.
Aujourd’hui ma chronique sera belle, Et rebelle. Elle aborde le thème de la lutte dans tout ce qu’elle a de positif et d'humain. A travers l'évocation de deux films documentaires et complémentaires en pleine actualité.
Mauvaise nouvelle, je viens encore de perdre un abonné ! Non pas consécutivement à l'une de mes dernières chroniques polémiques - je pense qu'il s'en foutait - ; pas non plus en relation avec la neige que je sublime sur l’Aubrac ! Non, rien qui s’apparente à une fâcherie. Le lecteur que j’ai perdu, je l’ai perdu d'un coup. Sans rémission. Il est mort !
Bien avant le nouvel an deux-mille-vingt-trois, j'avais pris la résolution de ne plus consacrer de chronique à cette sorte de schizophrénie de gauche et dont pour le dire tout net, Jean-Luc Mélenchon est le seul responsable ! Mais depuis j'ai lu un billet de blog polémique de Mouloud, puis il y eut l'effet Ruth Elkrief. Pardonnez-moi, impossible d'y résister !
Allez, pour attaquer la semaine du bon pied, je vous emmène faire un tour en Aubrac. Le froid est arrivée dans toute sa belle rudesse et la neige a offert au paysage son décor harmonieux de carte postale. Venez c'est gratuit et l'empreinte carbone est proche de zéro Juste un peu de métane pour permetre aux vaches de s'exprimer
Je suis toujours admiratif de ceux qui, au même niveau de conscience que le mien, parviennent encore à trouver matière à espérer. Cela doit être le signe d’une intelligence supérieure ou d’un degré de confiance génétique. Mais, procédant par contre-exemple, il m’est agréable aujourd’hui de sortir la tête du marasme émirati, pour évoquer la trajectoire méritoire et singulière de Philémon.
Le problème de cette chronique, indépendamment du fait qu’elle me bouffe un peu de temps, que j’ai d’ailleurs – ce qui en limite déjà largement le préjudice - c’est qu’elle ne s’adresse quasiment qu’ à des lecteurs convaincus. Tout au moins à des gens qui ne font pas dans le climato- scepticisme ou dans la xénophobie chronique.
C'est hier que s'ouvrait la COP28 et le fait qu'elle se tienne à Dubaï ressemble à une énorme farce. Cela m'embête, car sur ce sujet non plus, je n'ai nullement envie de rire. Les monstruosités de la world compagny provoquent sur moi d'irrépressibles démangeaisons.
Wilders au Pays-Bas, après Bosak en Pologne, Méloni en Italie, Orbàn en Hongrie, mais aussi la Suède, l'Autriche, l'Espagne... Le nationalisme d'extrême droite est à notre porte et la France à la portée de Le Pen et le FN. Seule un politique humaine de partage et d'équité profitant à tous, pourrait éviter l'embrasement. Il serait temps !