Le blog de Jaco 48

L'avez-vous aussi remarqué, les gens sont d'une tristesse cet an-ci ! Est-ce la disparition du « beau soleil » ou bien les horreurs du Proche-Orient, à moins que ce ne soit l'inflation ! Remarquez que ce n’est pas de raison. Le gouvernement communique sans cesse sur la fin de l'inflation. Mais l'inflation de quoi ?

Malgré toute la fougue et la bonne foi qui accompagnent mes écrits, la volonté de faire du bien et de dispenser les bonnes idées, je n'ai en ma possession, ni les outils, ni la formation, ni même les informations dont dispose ACRIMED. Voilà pourquoi je me contente aisément d'en être le relais

Cent-cinq-mille (105 000) personnes, c’est peu ! Vraiment très peu. Il faut espérer qu’il existe à Paris, davantage de gens concernés par l’antisémitisme. Sans quoi y a un sacré souci à se faire pour nos amis juifs d’abord, pour la société française dans son ensemble, surtout ! Cent-quatre-vingt-cinq mille dans tout le pays, c'est affligeant ! Une claque de plus. Monumentale.

J’assistais, ce matin, aux cérémonies du 11 novembre. Pour un anar-coco de la pire espèce à laquelle j’appartiens, ce n’est pas le moindre des paradoxes de se retrouver là, au milieu de cette foule souvent figurante, parfois intéressée, le cas échéant concernée. Je sais que je pourrais m‘en dispenser - car vous les connaissez - mais je n’hésite pas à fredonner pour vous, ces vers de Brassens

Je voulais voir l'océan, mais la mer était démontée. Un petit salut à Devos. Alors je suis allé au cinoche. Comme toujours y avait rien, alors je suis allé voir Second tour, une fiction entre farce et charge politique assez efficace à mon sens. Faut dire quans même que c'est plus apaisant d'aller voir un Dupontel qu'un Clavier. Pas la même musique

On peut être proche des juifs, combattre farouchement l'antisémitisme et s'opposer à la politique de Netanyahu et au sionisme qui entretient le climat de haine au Proche-orient. On peut tout en condamnant sans réserve l'attaque du Hamas, s'indigner du génocidé perpétré par Israël à Gaza. Et puisque tout soutien à la Palestine est interdit, on peut aussi s'abstenir de manifester dimanche

En voilà bien une, de chronique, parfaitement imprévue. Certes je savais bien que j'allais devoir m'y remettre, mais je n'avais pas fixé de date. Ce serait sans doute celle où, ayant pris connaissance d'une info révoltante et renversante, je me mettrais devant la bécane en tapant comme un gaga mes meilleures indignations.

La condition d’auteur offre bien des privilèges et autres perspectives. Ainsi, voici quelques semaines à peine, je me retrouvais invité à la fête du livre de Beauregard-Vendon (près de Clermont). Je vois bien que cela vous impressionne et cela ne me laissa pas davantage indifférent. Si l’on m’avait dit que l’on s’intéressait à moi du côté de de Beauregard-Vendon, j’aurais eu peine à le croire.

Si vous êtes un fidèle des médias aux ordres - soit la quasi-totalité de ce qui est accessible par le TNT, le satellite et les box -, il ne vous a pas échappé que l’on s’écharpait dans le camp de la vraie gauche. Et particulièrement entre Raquel Garrido et Jean-Luc Mélenchon.

Ah ça y est ! Vous êtes déjà sur ma chronique ! C’est gentil, mais vous aviez le temps. Il n’est que cinq heures trente ce matin. Remarquez, je peux comprendre que vous n’ayez pas fait attention au changement d’heure. Il arrive, les années post COVID, pré-guerre en Ukraine, que les télés, déjà vides de sens par définition, manquent en prime d’essence pour alimenter la leur, de chronique.