Une vie vouée à l'écriture. Journaliste dans le sud par le rugby d'abord (!) Engagé dans le combat pour une société solidaire et fraternelle. Contre le profit, la croissance et le nationalisme. Insoumis,1…
indigné, permanent. Utopiste paraît-il. Et c'est bien triste....
A vrai dire, je ne comprends rien à cette histoire de succession. Pas plus que cet acteur fascisant – mais fascinant pour d’autres, j’en conviens – ne m’intéressait lorsqu’il était à son zénith de popularité. J’observe, du reste, qu’Alain Delon ne figure même plus dans les cinquante peoples préférés des Français...
Si aux États-Unis ils semblent inexorablement subjugués par Trump, c’est à croire que la France ne peut pas davantage se guérir de Sarkozy. Ce qui situe tout de même et sans même aller chercher Poutine ou Netanyahou, l’état de ce monde !
Bon, j’aurai quand même bien résisté, vous trouvez pas ? 48 heures sans écrire le nom fatal : Attal ! Remarquez je n’ai aucun mérite, j'étais empêché. Depuis l’annonce de sa nomination, ce jour fatidique – mardi – je me trouvais sous assistance respiratoire ! Certes, je commence à retrouver mon souffle et mes esprits, mais je vais y aller doucement parce que le choc a été rude.
Pour cesser de polluer, il faut cesser de consommer. Le postulat est simple, si simple que pour une fois il peut être compris par tout le monde. Seulement cela ne l'intéresse pas, le monde. La fièvre acheteuse est la plus redoutable des épidémies. Elle tue la planète... Conséquence de la mondialisation, pire que dans les airs, c'est sur nos océans que la pollution est la plus flagrante
Longtemps je me suis demandé ce que l’homme pouvait bien aller chercher sur la Lune !
A l’origine, ce sont ces salopards de Russes qui, pour montrer qu’ils pissaient plus haut que ces connards d’Américains, entamèrent cette conquête spatiale qui, depuis les années cinquante, fait tourner le monde en bourrique.
La communication politique en général, Élyséenne notamment et Macronienne particulièrement, ne sont très jamais simple à suivre. Vu d'ici - c'est-à-dire de très loin - on a l'impression qu'ils se donnent beaucoup de peine, pour un résultat équivalent. Mais enfin cette exclusion de la première ministre, déguisée en démission, ajoute de la goujaterie à la manigance
De toute façon, je vous aurais présenté mes vœux. Je ne m’imagine pas passer l’année sans envoyer un petit mot le premier jour de l'année à ceux qui me portent et souvent me supportent tout le reste du temps avec ces chroniques, chronophages, déprimantes et décriantes.
Parvenez-vous, chrétiens ou autres, croyants ou pas, à imaginer le Noël de Bethléem à 70 kilomètres de Gaza. Cette nuit si particulière où, parvenant à surmonter leur dogme, les trois religions majeures s'accordaient au nom d'une seule cause : l'Humanité. Une nuit où l'on ne chantait qu'un seul credo. Paix. Paix sur la terre. Paix pour les hommes. A 70 kilomètres de Gaza !
Une fois n'est pas coutume, je propose à mes amis du club Médiapart un angle bien différent de celui auquel je suis habitué. C'est pour raconter l'aventure d'un livre-événement qui dénonçait les dérives du rugby, que beaucoup pensaient encore préservé de la gangrène du fric, du dopage et de toutes les perversions possibles. Un livre boycotté par les médias et donc méconnu