Nous sommes ici tous assis, résorbésDevant l'Exigence serions-nous tous rassis ?Je m'épelle et je perçois ma peurAccélération du pouls, vitrification de l'humeurJ'exhume de sous la peau des humeursVitreuses d'angoisseEst-ce la fin de la sieste infinie du mondeD'un monde ?
Ils sont partis sans crier gareAvec leurs mômes et leurs guitaresNos frères gitans de Saint-Ouen.Elles sont parties, à tire-d'aileEt sans retour, les hirondellesParis n'en avait plus besoin.Flots de béton et de bêtiseFaut des drugstores et du strip-teaseDes buildings et des souterrainsEt de Boulogne et de VincennesEt des quais fleuris de la SeineBientôt, il ne restera rien.
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