Giono est un grand écrivain, politique, soldat du Chemin des dames à Verdun, il s'engagera résolument contre la guerre, toutes les guerres, l'idée de la guerre. Voici l'extrait d'un texte auquel il ne manque rien, auquel il n'y a rien à retrancher pour dire le monde aujourd'hui.
Voici le troisième extrait de l'entretien intitulé : " Où il est question de Roméo et Juliette, seulement ils s'appelaient Margarita et Abulfaz."
"Un homme courait vers nous, il était couvert de sang...Son manteau et ses mains étaient pleins de sang... Il brandissait un grand couteau de cuisine comme ceux avec lesquels on coupe les légumes... Il avait l'air triomphant et même heureux."
A Bakou, nous habitions dans un grand immeuble. Il y avait un mûrier dans la cour, un mûrier jaune. Ses fruits étaient un vrai délice ! Nous vivions tous ensemble, nous formions une grande famille, les Azerbaïdjanais, les Russes, les Arméniens, les Ukrainiens, les Tatars... Clara, Sarah, Abdullah, Ruben... La plus belle, c'était Sylva.
La comptabilisation des votes blancs et nuls sous-tend la volonté d'essayer de maintenir le plus possible l'apparence d'une démocratie élective forte. En grattant les fonds de tiroirs
Il y a la possibilité d'un véritable troisième tour législatif si, et seulement si, le taux d'abstention (blanc ou nul) fragilise les deux candidats. Alors seulement les jeux ne seront pas faits. On a beaucoup évoqué le trou de souris par lequel aurait pu passer le vote Mélenchon. Là il s'agit de la possibilité d'un boulevard démocratique !
Il y a des évidences dont on semble tenir davantage compte quand, comme l'aurait dit ma Grand-mère, c'est dans le journal.
Il suffit cependant d'appeler un chat un chat, sans chercher midi à quatorze heures pour comprendre simplement ce qui est présenté comme étrangement compliqué. Dans une histoire policière on dit "chercher à qui le crime profite", ici, il suffit de chercher le profit.