Je ne sais pas pour vous, mais moi, ils m'emmerdent avec leur(s) guerre(s) à la con et à la mord-moi le noeud qui ne servent jamais qu'à alimenter une autre guerre qui… Et ils ont même le cul assez léger pour nous raconter à chaque fois que "c'est pas moi, c'est l'autre qu'a commencé !"
J'ai failli terminer mon dernier billet d'humeur en disant que la misère était la mère de tout les maux - et de pas mal de mots aussi. Mais j'entends ma chatte me siffler de loin que ce serait aussi saugrenu qu'un papillon vert posé sur un éléphant rose.
Notre joli système dit libéral et mondialisé - autant dire simplement capitaliste - est fondé sur le fait de laisser une miette au peuple, afin qu'en la grignotant il se taise et se laisse exploiter en toute quiétude. On va même jusqu'à lui donner un quignon de temps à autre, avec un peu de confiture,
"Ne pas mettre la charrette devant l'ours, le boeuf dans la charrette, et le lapin devant tout le monde, que ça risque d'être un fichu bordel." Peut-on lire sur la vitre.
Cette petite phrase n'émane pas d'un monsieur ou madame météo, pas plus que d'un politicien bernoyant à la veille de se prendre une déroute cuisante accompagnée d'une cuite assourdissante lors d'élections dont il aurait préféré se passer. Non ! Elle aurait été prononcée par un certain Roger François Damiens lorsqu'il apprit comment il serait exécuté pour avoir tenté d'assassiner le roi Louis XV.
Hiérarchie quant tu me tiens ! Dans les hôpitaux, la plupart du temps, les médecins mangent ensemble, parfois avec les internes ; les internes font table à part, de même que les infirmières. Mais je n'ai pas regardé dans leurs assiettes afin de voir s'ils faisaient menus à part.
J'avais dit que je raconterais l'histoire de Chronos, dieu des chronomètres chez les grecs anciens, mais ce sera pour une autre fois, il y a des choses plus contemporaines à élucider d'abord.
Je disais que je ne savais pas combien c'était crevant de mourir. Mais c'est ainsi. On a tendance à considérer le coeur comme un simple morceau de barbak - il y a même des gens qui aiment ça, cuit juste à point. Mais non, si le coeur paraît être un muscle comme les autres, il n'empêche que si l'on te coupe une jambe - ou si tu te la coupes toi même, masochiste que tu es
On a beau le savoir par coeur et à coeur ouvert, mais il est toujours étonnant de se réapercevoir que le temps passe au gré de ses humeurs qui sont généralement les vôtres - à ne pas confondre avec des humeurs votives ou volubiles - d'où le réa qui est parfois une réaction à l'aperçu. Tiens, par exemple je viens de m'apercevoir que vient de passer le premier anniversaire de ma mort -