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  • Au-delà de Betharram : violences pédocriminelles et pouvoir institutionnel

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    Il y avait Stanislas, il y a eu Betharram. Mais aussi les pensionnats pour les enfants Autochtones. Et bien d'autres situations. Pour une analyse des logiques des violences génitalisées exercées dès l'enfance. Nos maux viennent très bien loin, les résistances aussi. Un extrait de « La Combinatoire straight. Colonialisme, violences sexuelles et Bâtard-e-s du capital » (Amsterdam)
  • La grève générale des femmes s’appelle : lesbianisme

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    Pour un féminisme anti-carcéral et d'action directe collective... Nous étions nombreuses samedi pour saluer le courage de Gisèle Pelicot. On se prend à rêver d'un autre monde... Et si Monique Wittig revenait?
  • Une « guerre de basse intensité » contre les femmes ? (5/5)

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    Où l'on découvre le concept de « guerre de basse intensité » (développé tout particulièrement par l'OAS) et le rôle central de la torture pour démoraliser durablement l'adversaire... Au-delà du personnel : les effets collectifs de la violence contre les femmes.
  • Violence domestique et torture : une guerre de basse intensité contre les femmes ?

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    « Je me rapetisse quand mon mari me dispute, quand il me chicane et qu'il me dit des choses idiotes, moi je préfère rester silencieuse. » Analyse des effets psychodynamiques individuels de la violence domestique et de la torture. Quelle équation personnelle explique la position de chacune des personnes dans la relation de violence ? quel contexte la rend possible ? Épisode 3/5.
  • La violence domestique comme torture 2/5

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    Dans le cycle de la violence domestique, les deux rôles —bourreau et personne compréhensive— sont tenus par une seule personne : le compagnon. Combien de femmes ont l'impression de ne pas avoir le même homme devant elles dans les deux cas ? Suite du texte, toujours avec des témoignages qui peuvent s'avérer difficiles à lire.