
La nouvelle voix
Blog collectif d'intellectuels ukrainiens, de journalistes, critiques de cinéma et de l'art
Son blog
6 abonnés
Le blog de La nouvelle voix
- 6 billets
- 0 édition
- 0 article d'éditions
- 0 portfolio
- 0 lien
- 0 événement
- 0 contact
Ses billets de blog
Voir tous-
Le festival du film de Riga répond aux symptômes d’une colonisation culturelle
De la part des rédactrices du blog : Aujourd'hui nous avons décidé de donner la tribune à nos collègues lettons du festival de Riga. Ils souhaitent se prononcer par rapport à la reconversion « magique » du média russe Meduza en média letton dans Screen International. -
Cannes : Thierry Frémaux qualifie les Ukrainiens d’« ultras » et de « radicaux »
Thierry Frémaux a qualifié d’« ultras » et de « très radicaux » les Ukrainiens qui demandaient le retrait de la compétition du film La femme de Tchaïkovsky du « dissident » Kirill Serebrennikov. 2 jours plus tard, Serebrennikov a appelé à soutenir les soldats russes en disant qu’ils sont « des victimes », de la même façon que les Ukrainiens sont victimes de la guerre. -
Quand le Festival de Cannes essaie de taper fort
La Russie vient de larguer 12 missiles sur ma ville natale de Krementchouk, dans la région de Poltava en Ukraine. Chez moi, à Paris, je me prépare à aller à mon 10e Festival de Cannes. Je me pose beaucoup de questions en ce mois de mai. Je me dis que le plus grand festival du monde tape fort mais complètement à côté. -
Décoloniser les toponymes ukrainiens
Jusqu’à récemment le mécanisme de transposition des toponymes ukrainiens en anglais et en français consistait à les coller systématiquement à la prononciation ou à l’écriture en russe. Considérant ces usages comme un résidu malsain d’une époque marquée par la domination impériale russe sur leur pays, les Ukrainiens demandent d’adapter l’écriture de toponymes à leur prononciation en ukrainien. -
« Propagande » : lettre ouverte à Reporters sans Frontières
Il y a une semaine, j’ai découvert que l’association Reporters sans Frontières avait accueilli Zhanna Agalakova. J’ai envie de poser quelques questions à cette journaliste russe que je voyais à la télévision quand j’avais 10 ans. Ce que je reproche aux médias français : leur cœur bat pour les enfants de Marioupol mais leur cerveau rêve encore avec Dostoïevski que « la beauté sauvera le monde ».