Journal cadencé, essentiellement versifié, amoureux toujours. Atención, les dessins arrivent !
En ces temps de guerre civile larvée, Mediapart, ASI, Blast, le MD, Acrimed, au front !
Cette nuit (ce qui change pas mal de chose, me dis-je), j'ai envie de traverser le mur du sommeil, écrire, dessiner, dessiner la grotesque farce macronienne. Bonus ensoleillé.
Chapeau, les responsables, les représentants ! Moi, on m'a déjà mis sous camisole de force, en cellule, sous traitement psychiatrique, de force, je rends les coups.
Rebonjour Mediapart, je suis aujourd'hui Ouais Ouais, je me dirige vers le bureau de vote, mais une envie pressante d'uriner m'empêchera d'atteindre mon oh... sérieux ?
Je renoue avec la vie, la lutte, et je continue à Gauche, de cette Gauche qui ne danse pas la sarabande avec les collabos, tout roses qu'ils soient. Mutant Paria cherche Vulve Assassine moche de l'extérieur. Allô Vulvette ?
Du monde qui va berzingue, je tire le handicap de la paralysie. Mais je me réveille parfois de ma léthargie, je m'arme de crayons, de gommes et de papier, et je gribouille. Quand les idées sont bonnes, le dessin ne suit pas, et quand le dessin est bien exécuté, le propos est soit fadasse, soit incohérent. Bienvenu(e)s.
La passion du dessin m'est revenue, intacte, que dis-je, plus prenante que jamais. J'en profite pour lancer un portfolio que j'alimenterai quotidiennement.
Je ne comprends pas… c'est pourtant Franz Liszt qui m'accompagne dans cette douloureuse entreprise de self-promotion et la machine, je veux dire mon clavier azerty, reste inopérant. Ouste ! Baste ! J'écris comme un rongeur de la FDJ, alors qu'importe, je troque mon alphabet contre deux-trois crayons et du papier. Que ça plaise ou non à l'Académie ! Je veux dire… aux clubistes.
Renaud me dit qu'il est mort, mes chiottes sont bouchées,
M'en fous, j'inspire au max, ça y est j'expire aussi.
Eh, y paraîtrait que c'est dangereux de s'exprimer de nos jours si courts,
Et même qu...