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« Une large partie de la gauche a trop longtemps manqué à l'appel des Syrien·nes. Nous devons à présent inonder cette Syrie libérée non pas d'ingérences occidentales, mais de la solidarité que nous entendons tisser entre les peuples libres, et ceux qui se battent pour leur liberté, du monde entier. » Dans cette tribune, un ensemble de journalistes, militant·es, enseignant·es et personnalités du monde de la recherche appellent au dépassement des clivages pour soutenir le peuple syrien et les exilé·es.
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« Le recensement est un bien public et y participer est un acte civique. Ceci clairement dit, nous appelons à ne pas répondre à une nouvelle question qui est introduite cette année sur le pays de naissance des parents. » Pour Nathalie Tehio (LDH), Sophie Binet (CGT), Benoît Teste (FSU), François Sauterey (MRAP), Julie Ferrua et Murielle Guilbert (Union Syndicale Solidaires) l’enregistrement de cette information est un pas vers une possible inégalité de traitement par l’État sur cette base.
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Georges Abdallah est un militant communiste libanais emprisonné en France depuis plus de 40 ans. Sa demande de libération conditionnelle a été acceptée par le tribunal d'application des peines. Le parquet a immédiatement fait appel de cette décision. Alors qu’une nouvelle audience doit se tenir, un large ensemble de personnalités réaffirment « leur engagement en faveur de la libération de celui qui est devenu le plus ancien prisonnier politique d’Europe ».
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En mars 2023, la demande d'extradition d'un militant italien par la Hongrie a essuyé un refus net, notamment par crainte d'un traitement inhumain et de violations des droits fondamentaux. Aujourd'hui, c'est au tour de Rexhino Abazaj d'être menacé par la Hongrie orbaniste. Arrêté à Paris en novembre et sous le coup d'un mandat d'arrêt similaire, il est depuis emprisonné à la prison de Fresnes, où il attend la décision d'un tribunal français sur la demande d'extradition. Une seconde audience doit être organisée le 18 décembre pour statuer sur son sort.
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Alors que le procès des effondrements de la rue d'Aubagne se tient jusqu'au 18 décembre, un ensemble d'associations et de collectifs dénonce « le cynisme du business de la rente à Marseille et de ses racines politiques ». Parce que « les mécanismes du système de l’exploitation du mal-logement ne pourront être ni dénoncés, ni jugés », ils et elles demandent « une commission d’enquête parlementaire sur l’habitat indigne ».
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Après des tirs et des règlements de compte tragiques dans le quartier populaire de Maurepas à Rennes, un ensemble d'associations locales alertent sur leur besoin de renfort humain, financier et coopératif. Alors que leur espace public est « pris en étau entre les violences liées au narcotrafic et la riposte ultra sécuritaire des pouvoirs publics », elles insistent sur les raisons structurelles de ce problème, afin de l'enrayer efficacement.
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Un hommage a été rendu, vendredi 29 novembre, à l’Institut du Monde Arabe au grand écrivain et journaliste libanais Elias Khoury, décédé le 15 septembre à Beyrouth. La Palestine, dont la cause universelle traverse son œuvre, habitait cette soirée animée par Leïla Shahid. Nous publions l’une des interventions, celle d’un de ses plus proches amis, l’architecte et urbaniste libanais Jad Tabet.
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Un hommage a été rendu, vendredi 29 novembre, à l’Institut du Monde Arabe au grand écrivain et journaliste libanais Elias Khoury, décédé le 15 septembre à Beyrouth. La Palestine, dont la cause universelle traverse son œuvre, habitait cette soirée animée par Leïla Shahid. Nous publions l’une des interventions, celle d’un de ses plus proches amis, l’architecte et urbaniste libanais Jad Tabet.
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Un hommage a été rendu, vendredi 29 novembre, à l’Institut du Monde Arabe au grand écrivain et journaliste libanais Elias Khoury, décédé le 15 septembre à Beyrouth. La Palestine, dont la cause universelle traverse son œuvre, habitait cette soirée animée par Leïla Shahid. Nous publions l’une des interventions, celle d’un de ses plus proches amis, l’architecte et urbaniste libanais Jad Tabet.
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Suite à la participation du docteur en science politique Nedjib Sidi Moussa à l’émission « C Politique », sur France 5, ce dimanche 24 novembre, sur les mémoires franco-algériennes, l'universitaire a été harcelé sur les réseaux sociaux. Des historiennes et des historiens s'insurgent contre les propos racistes « extrêmement choquants » dont il a été victime.