L’enjeu politique actuel n’est plus d’imaginer ce qui doit être mais de distinguer et laisser mourir ce qui ne doit plus être. S’il n’y a pas à imaginer de monde meilleur, c’est qu’il y a déjà, dans tout ce qui est, de quoi (re)faire un monde.
La part des mauvaises nouvelles dans l'ensemble des nouvelles qui nous parviennent est écrasante. Comment faire pour ne pas sombrer dans l'anxiété et l'impuissance ? Quelles raisons avons-nous de rester optimistes ?
Nous n’avons pas besoin de programme : l’avenir est déjà bien trop programmé. Ce qu’il nous faut, c’est le déprogrammer, c’est-à-dire mettre fin aux séquences, agendas, mémorandums, et autres prévisions concoctées en haut des tours d’acier.