The sweet, warm brown, red & black room

J'étais inspiré aujourd'hui, belle rencontre pleine de Zen, un échange sur notamment Mediapart, une lanterne qui commence à s'éclairer.

Pour écrire un bon poème, prenez énormément de colère, du rythme, et une bonne respiration dans l'air puant de notre paîs.

Trouée, la nuit ! Je les ai mis mat, les garces et les gars ! Avis à tous les Narcisse du monde, ne me lisez pas, ou noyez-vous dans ma prose abyssale ! (Ouh lala, vachement modeste, le serviteur...)

Au diable les manières, à Dieu la censure.

Alors aujourd'hui, que nous pondez-vous, Diego ? Je ne sais pas, j'Erdogane, j'Espagneàdroite, je Monarquise, Je frise la Borne, je loindedarmanin, je Je majuscule, je déprime.

C'est en regardant la trouble Faites entrer l'accusé chez un ami qui a l'habitude de RMC que j'ai cru m'étouffer d'indignation en même temps que je voyais Raphaël Maillant s'effondrer au milieu des flics quand sa condamnation à 17 ans de prison a été prononcée. Il est joli, ce mot d'indignation...

Là je ne sais pas, je suis au maximum de ma liberté tous comptes bancaires égaux par ailleurs, j'ai l'humour vague scotché au cul, je sais qu'y faut pas, je vais donc parler de quelque chose. Sinon je fonds en larmes. Compris ?

Je m'emberlificote encore les pinceaux lorsqu'il s'agit de causer Anarchie. Mais je la kiffe. Le Dieu Dollar et sa putain nous ont joué un beau tour ; il faut avoir des tripes et de l'imagination pour rejoindre la mobilisation plutôt que de se masturber frénétiquement devant des myriades de pixels érotisés.

Exténué par les infos, mais combatif, je livre quelques rimes mal foutues (sauf la fin qui est au petits oignons).

C'est, comme le texte le propose, un aveu de fausse déclaration fiscale. J'en ai assez de traîner cette casserole qui, en sus de me rendre parano, accentue le lien que j'ai et que je ne souhaiterais pas avoir avec mon parâtre, dont la famille a décidé de gérer mon héritage depuis mon internement en cliniques psychiatriques chiliennes moribondes et pourtant si catho.