De la procédure et des preuvesÇa ressemble au titre d'une fable de La Fontaine mais ce n'est que la convergence fortuite de trois événements courant octobre 2008. D'une part un « urgentiste » mis sous les verrous rapidement pour « un geste bizarre ». D'autre part l'affaire du jeune Abdelakim (Hakim) qui date du 09 mai et qui refait surface avec la publication du rapport presque final d'autopsie mi-octobre. Enfin l’affaire de La Bavure policière de Montfermeil.
Suite à la libération "involontaire" d'un récidiviste pour viol, le 17 octobre 2008, la demande a été faite immédiatement par les plus hautes autorités de l'Etat d'annuler cette décision en demandant au Parquet Général de déposer cette requête en rectification de l'erreur matérielle de cette décision.
Suite aux événements du 14 octobre 2008 à Montfermeil le responsable de la SécuritéDéparementale de la Seine Saint Denis annonçait que la police allait désormais filmer toutes ses interventions. Les raisons de cette annonce étaient claires: puisqu'on nous filme nous allons filmer !
Suite à une série de suicides au commissariat de Tours, puis au suicide d'un jeune policier début 2008 au même commissariat, une mission d'écoute a été mise en place fin janvier 2008 par l'IGPN en relation avec la préfecture de Tours. Elle rendait son rapport début février 2008.