Un très vieux poème pour une si lointaine fiancée, (qui ne se reconnaîtra pas). Elle à qui je faisais l'amour, comme je lui faisais à manger.... pour une semaine...
PS : et longtemps, très longtemps mon coeur s'était ailé d'amour pour elle...
Je publie ce « Journal de bord » en plusieurs épisodes, suite au débat suscité par la publication de mon dernier récit, « Choisir ma vie, choisir ma mort ». Et surtout suite à ma (douce) mise aux bans de la douce société bisontine, tant l’affirmation de mon choix de mourir quand je le déciderai semble terroriser mes amis, mes proches... et au-delà...
Je publie ce « Journal de bord » en plusieurs épisodes, suite au débat suscité par la publication de mon dernier récit, « Choisir ma vie, choisir ma mort ». Et surtout suite à ma (douce) mise aux bans de la douce société bisontine, tant l’affirmation de mon choix de mourir quand je le déciderai semble terroriser mes amis, mes proches... et au-delà...
Je publie ce « Journal de bord » en plusieurs épisodes, suite au débat suscité par la publication de mon dernier récit, « Choisir ma vie, choisir ma mort ». Et surtout suite à ma (douce) mise aux bans de la douce société bisontine, tant l’affirmation de mon choix de mourir quand je le déciderai semble terroriser mes amis, mes proches... et au-delà...
Je publie ce « Journal de bord » en plusieurs épisodes, suite au débat suscité par la publication de mon dernier récit, « Choisir ma vie, choisir ma mort ». Et surtout suite à ma (douce) mise aux bans de la douce société bisontine, tant l’affirmation de mon choix de mourir quand je le déciderai semble terroriser mes amis, mes proches... et au-delà...
Je publie ce « Journal de bord » en plusieurs épisodes, suite au débat suscité par la publication de mon dernier récit, « Choisir ma vie, choisir ma mort ». Et surtout suite à ma (douce) mise aux bans de la douce société bisontine, tant l’affirmation de mon choix de mourir quand je le déciderai semble terroriser mes amis, mes proches... et au-delà...