Le livre que viennent de publier Christian Chesnot et Georges Malbrunot sur le financement de l'islam de France par le Qatar est ambivalent. Malgré la révélation de données jusqu’alors mal connues sur le Soft power religieux de l'émirat, le récit global tend à exagérer délibérément l’influence d’un État dont l’épreuve des faits montre qu’elle reste minime dans l’islam hexagonal.
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