Humain patenté mais non breveté.
Mon Petit Liré - Quelque part à l'ouest du Rhin et du Rhône et pas très loin du Loir Gaulois et de la Loire de la même eau. (et aussi: olivier.hammam@free.fr)
Et, Ma Pomme c'est Mouhahahaha, j'suis plus heureux qu'un Rouha!
Ma Pomme, en l'occurrence, c'est Olivier Hammam, un type né le 11 mai 1959 dans un bled d'Eure-et-Loir. Je dis parfois que c'est mon petit1…
Liré pour faire le beau et le cultivé, et parce que je suis né pas très loin du Loir gaulois. Ma Pomme est un rigolo dérisoire mais amusant, du moins l'espère-t-il – pour le côté amusant, quant au côté dérisoire, je le déplore mais en prends mon parti...
Car nul n'est obligé de mettre en haut de la hiérarchie sociale des corrompus. Ceux qui corrompent, les vrais corrupteurs, sont ceux qui consentent à la domination des corrompus.
Ce qui est faux, je connais quelques abonnés, trois ou quatre (je les connais en tant que tels, non au concret), avec qui les simili-discussions internétiques s'approchent autant qu'il se peut d'une réelle discussion. Les autres? bof bof...
Très marrant ce qui se passe en ce moment: les dirigeants des partis ayant participé aux élections législatives affirment tous être les vainqueurs de ces élections, or les élections c'est comme les épreuves sportives: beaucoup de participants, un seul vainqueur. Mais il y a pire.
En voilant la vérité. Mais, pourquoi mentir? Toujours pour une mauvaise raison et parfois, pas trop souvent peut-on espérer, une raison mauvaise. Cette question des raisons préoccupe beaucoup la Société. Fondamentalement elle est négligeable mais on juge les actes sur la forme, non sur le fond. Et formellement elle est primordiale.
Première leçon: ne surtout pas craindre d'utiliser des mots formellement “de la haute”, et ne surtout pas les utiliser en tant qu'ils peuvent susciter une forme de crainte.
Le premier pour tout, pour n'importe quoi et même pour le reste. Et spécialement, le premier à parler “après”, après tout, n'importe quoi et même le reste. Illusion bien sûr, fumée, construction médiatique. Parce que les médias ne savent pas faire autrement.