Comment en est-on arrivé à de telles situations ? Quelles sont les origines des affrontements entre les pays occidentaux et leurs adversaires ? Quelles erreurs l’Occident a-t-il commis à l’issue de la Seconde guerre mondiale ?
Qu’appelle-t-on la diplomatie parlementaire ? Alors que la France était autrefois le deuxième plus grand réseau diplomatique mondial, doit-on considérer que la diplomatie française est en déclin ?
Comment caractériser la résilience de la Défense française ? Quelle est en ce sens le rôle de la commission de Défense de l'Assemblée nationale ? Comment accompagne-t-elle la prise de décisions ?
Quelle analyse de l’évolution des conflits mondiaux peut-on livrer aujourd’hui ? Des conflits, tels que ceux en Ukraine et à Gaza, peuvent-ils réellement être comparés comme cela peut-être le cas dans certains médias ? Dans quelle mesure certains conflits sont-ils sujets à la diplomatie de l’indifférence ? En quoi l’Occident joue-t-il sa crédibilité dans le conflit à Gaza ?
Qu’est-ce que l’équipe olympique des réfugiés ? En quoi le sport peut-il être considéré comme un vecteur de paix et d’émancipation ? Quel état des lieux peut-on dresser à propos des droits des femmes en Afghanistan ?
Ancienne députée européenne et ancienne ministre française des Armées, Sylvie Goulard répond à mes questions à l’occasion de la parution de son livre "L'Europe enfla si bien qu'elle creva", aux éditions Tallandier.
Peut-on à la fois produire de la valeur économique et régénérer l'environnement ? Quelle réponse apporter face à l'échec du modèle de l'économie verte ?
François d’Alançon est grand reporter, spécialiste des questions internationales. Richard Werly est éditorialiste France/Europe du média Suisse Blick. Ils répondent aux questions de Pascal Boniface à l’occasion de la parution de leur ouvrage "Le bal des illusions". Ce que la France croit, ce que le monde voit, aux éditions Grasset.
Comment la guerre affecte-t-elle les rapports humains en Russie et en Ukraine ? Dans quelles mesures le patriotisme renforcé de part et d'autre de la ligne de front complique-t-il les perspectives de règlement du conflit ?