
Revue Z
Revue itinérante de critique sociale http://www.zite.fr
Sa biographie
Au printemps 2009 sortait le premier numéro d’un canard-tortue imaginé par une joyeuse bande. Installée chez des éleveurs du Tarn, la rédaction inaugurait le principe de l’itinérance : s’immerger dans la réalité d’un territoire, pour un mois au moins, enquêter collectivement, s’égarer et nouer des liens,…
prendre part aux luttes ; et, à partir de ces ingrédients, fabriquer, à prix abordable, une belle revue d’analyse critique de deux cents pages qui donne la parole à des gens qu’on entend peu, et où le dessin et la photo occupent une grande place.
Pour chaque année, un numéro. Pour chaque lieu d’enquête, un grand thème : sexisme et solidarités féministes à Marseille (Z10), folie minière en Guyane (Z12), intoxication pétrochimique à Rouen après l’incendie de Lubrizol (Z13)…
Depuis plus de dix ans, Z existe, persiste et change, au gré de nos propres existences. Des graphistes, plusieurs rédacteurs et rédactrices, éparpillées aux quatre coins de l’Hexagone et au-delà, qui bénéficient parfois du dispositif des emplois aidés, sans oublier les correcteurs. Une quarantaine de contributeurs et contributrices, poètes, photographes, dessinatrices, dessinateurs, la plupart du temps bénévoles.
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Pour une pratique émancipatrice de l’école du dehors
Une matinée par semaine, Isabelle Cambourakis se rend avec sa classe de grande section sur une ancienne ligne de chemin de fer en friche. Pour le dernier numéro de la revue Z (en vente en librairie depuis le 14 mai ou sur zite.fr), l’éditrice et enseignante revient sur cette expérience transformatrice, pour elle comme pour les enfants. -
Pour une pratique émancipatrice de l’école du dehors
[Archive] Une matinée par semaine, Isabelle Cambourakis se rend avec sa classe de grande section sur une ancienne ligne de chemin de fer en friche. Pour le dernier numéro de la revue Z (en vente en librairie depuis le 14 mai ou sur zite.fr), l’éditrice et enseignante revient sur cette expérience transformatrice, pour elle comme pour les enfants. -
Pourquoi le développement des robots humanoïdes ?
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« La liberté du roboticien n’étend pas celle d’autrui à l’infini ». Lettre ouverte à Philippe Souères
Qui a décidé qu’il fallait développer des robots pour s’occuper des personnes âgées ou automatiser encore davantage le travail ? Comment se fait-il que notre monde se rapproche toujours plus de celui de la science-fiction, alors que personne ne semble le désirer particulièrement ? Les scientifiques impliqués défendent-ils ce projet de société ?