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La propagande politique d’extrême droite se traduit en fait, par une ligne politique qui viole un certain nombre de droits et de lois républicaines. Outre ses caractères nationaliste, raciste, xénophobe, homophobe, le RN et toutes ces personnalités qui nourrissent les groupuscules extrémistes se sont engagés dans un véritable appel à la haine.
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L’art urbain est un défi au monde, aux puissants, à la propriété privée. L’art urbain, c’est bousculer “artistiquement” les piliers de notre société, le système patriarcal, la violence institutionnelle, les valeurs sociétales délabrées et réactionnaires.
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Le fascisme en tant que système politique puise donc ses nombreuses racines à travers le substrat favorable que lui offre une élite cupide et aveugle, en usant de mécaniques de domination visant à réduire à l’incapacité les oppositions sociales au déroulement de leur idéologie économique et sociétale.
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Dans la police, soit de nombreux agents semblent négliger l’importance des droits des citoyen·nes, soit ces agents ignorent expressément la Loi concernant le droit de les filmer. Le résultat est que les agressions documentées envers des citoyen·nes qui filment les policiers ne cessent jamais, voire deviennent de plus en plus récurrentes.
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Nous pouvons facilement constater qu’il n’y a pas de différences majeures entre la grenade GMD et la GENL : l’effet sonore reste au-dessus du seuil de douleur et des dommages à vie pour le tympan, la vitesse de projection des plots souffre d’une petite réduction, mais pas significative... Analyse technique des grenades du « maintien de l’ordre » comme « armes de guerre ».
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Il est important de comprendre que la propagande haineuse d’extrême droite sur Internet, ne vise pas seulement à s’engager dans une guerre politique, mais elle s’attaque également à la couleur de la peau, en renforçant le racisme systémique. A la liberté religieuse, en stigmatisant l’Islam. A la liberté de l’orientation sexuelle, en discriminant l’homosexualité, en stigmatisant le féminisme, etc.
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C’est au travers d’une large panoplie de signes, insignes, symboles, slogans, etc, que des policiers visiblement sans honte ni crainte de leur hiérarchie, affichent publiquement, leur amour de la violence, du thème de la vengeance, et parfois, du racisme, de la mort, voire des idéologies nazie ou fasciste.
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Encore, aujourd'hui, pas d'excuses, pas de regrets, bien au contraire. Encore aujourd’hui les Portugais, au sein de ma famille aussi, sont silencieusement racistes, fiers de leur passé. Encore aujourd'hui, les Portugais ne se demandent pas, pourquoi certains monuments qui glorifient l'esclavage, l'impérialisme, le racisme et le fascisme restent ouverts au public.
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Observateurs de la LDH, vidéastes, journalistes et reporters, photographes, automédias ou live streamers, simples citoyens, nombreux sont les témoins qui sillonnent les manifestations depuis que le mouvement des Gilets jaunes a enclenché un cycle hebdomadaire où révolte et répression ont mené un combat d’une intensité inédite dans notre histoire récente.
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Lorsqu’on est sur le terrain, on se rend compte que bien souvent les policiers ignorent la loi. Leurs graves lacunes, peut-être dues au manque de formation, sont justifiées par l’IGPN et l’IGGN comme “a culpa castas – exempts de faute”, de pures fatalités inhérentes à la complexité des situations au cours de leur travail. La population, victime de la violence d’État angoisse.