Roger Martelli

Historien, co-directeur de « Regards »

Son blog
81 abonnés Le blog de Roger Martelli
Ses éditions
1 / 2
Voir tous
  • Continuons le débat !

    Par
    Samuel Hayat poursuit et précise son analyse sur la France insoumise, ses mérites et ses limites. Il explicite et nuance une part de ses propos. Cela vaut que l’on essaie d’avancer.
  • La France insoumise face à son destin

    Par
    La France Insoumise pourrait tirer des leçons de ce qui arriva au PCF. La France insoumise n’atteindra pas ses objectifs si elle reproduit à l’identique les défauts du PC. Celui-ci, au nom du combat contre l’anticommunisme, s’est enfermé dans une défense intransigeante de son identité. Il ne s’est pas refondé, il s’est épuisé. Mieux vaut méditer sur la leçon.
  • L’alarme

    Par
    Difficile de ne pas voir dans les résultats des européennes un rude signal d’alarme. Pour que le rassemblement puisse se faire à gauche, encore faut-il que le parti pris de gauche se refonde, qu’il retrouve langue avec ses valeurs, mais qu’il les fasse vivre dans les enjeux, les mots et le formes de regroupement qui sont ceux de notre temps.
  • De quel vide politique le populisme est-il le nom?

    Par
    Le populisme est une notion commode. On ne sait pas trop ce que c’est, sauf que ce n’est pas bien a priori. « Populiste » est une manière feutrée de dire « raciste » ou « fascisant ». Et de mettre dans le même sac des opinions, des individus et des groupes que tout oppose sur le fond...
  • Guerre à la guerre

    Par
    Comme l’on pouvait s’y attendre, les attentats sanglants de Bruxelles ont relancé l’idée que nous sommes en « état de guerre ». Cet énoncé est supposé avoir les vertus du « réalisme » ; il est en fait le comble de l’irréalisme.
Voir tous
  • Édition Municipales 2014

    A Paris, le choix à haut risque des communistes

    Par
    Le PCF parisien ira donc officiellement aux élections municipales sur la liste conduite par la socialiste Anne Hidalgo. Une majorité (57 %) des adhérents qui se sont déplacés pour voter ont fait ce choix, proposé par la direction fédérale parisienne (à 67 %) et soutenu officiellement par le secrétaire national du parti lui-même.
  • Édition Entre République et Bastille

    Changer de République, une urgence pour la gauche

    Par
    Pour un nécessaire changement de politique et face à une majorité de gauche « déjà moribonde », l'historien Roger Martelli juge qu'il ne faut pas attendre « sa décomposition » mais plutôt manifester le 5 mai pour une VIe République qui serait « moins soucieuse de bonne représentation que de pleine implication citoyenne ». Manifester « pour que la gauche de la justice et de la citoyenneté redevienne majoritaire ».