Le blog de Romane Faure-Fary

60% des bi&pan déclarent des conséquences en termes de santé (mentale) dû à la biphobie : conséquences de discriminations passées et/ou isolement. Le plus alarmant étant que chez 38% des bi&pans on peut identifier un “mal de vivre” (déprime, idée noire, perte d’intérêt, isolement, dépréciation, etc).

Que s'est-il passé pendant nos 1000 premiers jours ? Et si nos voix permettaient de redonner à nos enfants le pouvoir du sens et de la compréhension de soi ? Adultes, nous cherchons quelquefois à protéger notre entourage, nous trions nos héritages en estimant que leur mise sous cloche suffira... mais n'est-ce pas plutôt une confiscation que nous imposons à ceux que nous faisons grandir ?

Déclaration de (dés)amour. Discours face à cette "famille choisie", la communauté queer lyonnaise. Quelle place pour les personnes bi/pansexuelles dans les espaces queers ? Quelle ouverture et quelles frontières se dressent ?

Les violences conjugales dans les relations queers existent. Elles existent à la même échelle, voire davantage, que dans les relations hétérosexuelles. La communauté queer est-elle en mesure de prendre en considération cette réalité troublante qui vient remettre en question les stratégies militantes ?

Vulgarisation de la pensée de la sociologue Eva Illouz. Cette autrice est mise en BD par Liv Stromquïst dans "les sentiments du prince Charles".

Un article qui référencie un ensemble de références-médias : podcast, livre jeunesse, comptes instagram, romans, essais, ... Comprendre l'importance d'étudier l'hétérosexualité comme une construction sociale et mettre en avant les différences de traitement de deux auteur/trices. Juliet Drouar & Alice Coffin

Comprendre et intégrer une approche-genre dans le travail social. Des ressources sur le genre, l’éduc’sex, une approche différenciée en fonction des publics spécifiques.

Ce texte est celui d’une narration subjective et incarnée, d’une prise de conscience et des tourments intérieures sur les amours pluriels et la construction d’une parentalité alternative. Après avoir défendue une sortie du placard immédiate, je partage mes ambivalences qui questionnent une ode à la patience et au temps pour se construire et s’aimer en paix.

Elsa Deck Marsault, dans « Faire justice », reprend un par un nos acquis sur la façon de rendre « justes » nos milieux. Dès lors, il n'est plus question de condamner mais de comprendre ce qui permet la violence... Que faire des auteurs et des victimes ? Comment rendre le dialogue possible lorsque les traumatismes sont omniprésents ?