Rym Khelil, Polytechnicienne, signe « Jeunesse à la fleur » (éditions Barzakh, octobre 2025), un premier roman maîtrisé et sensible, qui plonge dans l’Algérie de 1995 à travers le parcours de trois lycéens et de leur entourage, pris entre violence, espoir et désir de se construire.
« La vie au-dedans », premier recueil de Sarah Kechemir (APIC, 2025), marque l’entrée en littérature d’une cinéaste qui transpose son regard d’image dans l’écriture. En attendant son premier long métrage documentaire, elle signe une œuvre où le mot devient image et la mémoire, matière vivante.
Auteur de "Pupille" (2017), Riadh Hadir revient avec "Atropismes" (Éditions APIC, octobre 2025), un recueil de sept nouvelles à la croisée de la biologie, du panafricanisme et de la métaphysique, où le champignon devient métaphore du monde souterrain et de la pensée en gestation.
Loin des clichés et du dénigrement, Kaouther Adimi aborde la décennie noire avec justesse et pudeur.
« La joie ennemie » témoigne qu’écrire sur cette période n’est pas un tabou, mais un acte de mémoire. En racontant sans accuser, l’autrice rend hommage à son pays autant qu’à sa propre génération.
À l’heure où l’intelligence artificielle (IA) s’immisce dans chaque recoin de l’espace informationnel, l’éducation aux médias n’est plus un luxe pédagogique, c’est une nécessité sociétale.
Si vous êtes un illuminé imbu de sa personne, se considérant (déjà !) comme un spécialiste de l'IA (Intelligence Artificielle), alors ce livre est pour vous. Si vous êtes un humble passionné de nouveautés, technologiques ou autres, ce livre est également pour vous. Si vous êtes tout simplement un rat de bibliothèque, alors vous ne serez surement pas déçu.
Dans un pays connu pour ses nombreuses révoltes à travers l’histoire et surtout par sa révolution armée (1954 – 1962), l’urgence d’être à la page dans les bouleversements mondiaux actuels est plus qu’une nécessité. Le fait que l’Intelligence artificielle (IA) soit apparue à cette époque constitue ainsi, pour l’Algérie, une grande opportunité.