Avec la fin du mandat de Laurent Fabius et de deux des autres membres du conseil constitutionnel, il y a de quoi s'inquiéter. Entre remise en question de l'état de droit et affaires d'inéligibilité, les sages jouent désormais un rôle décisif pour la démocratie. Quels sont donc les 3 nouveaux candidats et les défis auxquels ils risquent de faire face prochainement ?
Depuis la dissolution invoquée par Emmanuel Macron le 9 juin dernier, la Vème république connaît une crise de régime sans précédent. Cette crise, amène à faire penser plus tôt que prévu à la prochaine échéance majeure, la présidentielle de 2027. Laissons nous tenter par quelques devinettes.
Lors des « Rencontres de l’avenir », qui se sont déroulées début novembre, Nicolas Sarkozy a fait des déclarations sur les enseignants, rapidement relayées sur les réseaux sociaux. Des propos outranciers et irrespectueux ? Ou simplement une déclaration mettant en évidence une réalité difficile à accepter pour nos professeurs ? C’est ce que nous allons examiner.
Depuis quelques temps, la droite et l'extrême droite mettent le doigt sur un sujet qui les dérange : le pouvoir décisionnel final du conseil constitutionnel sur la promulgation de la loi. Redevenu d'actualité avec les propos tenus par Bruno Retailleau, nouvellement ministre de l'intérieur, sur l'état de droit, le sujet fait parler et cache en réalité une vérité bien plus grave.