Craftpart, tué le lion

Rebonjour Mediapart, je suis aujourd'hui Ouais Ouais, je me dirige vers le bureau de vote, mais une envie pressante d'uriner m'empêchera d'atteindre mon oh... sérieux ?

Je renoue avec la vie, la lutte, et je continue à Gauche, de cette Gauche qui ne danse pas la sarabande avec les collabos, tout roses qu'ils soient. Mutant Paria cherche Vulve Assassine moche de l'extérieur. Allô Vulvette ?

Doctor, I’m strolling on my chair, and the streets in my apartment are alive and singing. There is my Black with a green hat schoolmate, appearing up the hillock with his school bag and his Tupperware, a cat...

Oh, purée ! Bashung dans la playlist ! Y'a dû y avoir des fuites... Bene, io, yé retourne à mon cours de Volapuk. Ma petite entreprise humaine.

Ben coit ? je suis amoureux, et alors ? Ça me laisse indifférent au charme de De Villiers...? Merde alors.

D'aucuns font la chasse aux sorcières (rouges, de préférence), et d'autres chassent les Nazis. Chasseurs de Nazis, comme mon seul pote de jeunesse, avec qui je fumais joint de l'autre côté de la chaussée où se situait la boîte à bac. Merci Papa, aujourd'hui mes mois finissent le 8, le 9 si je suis complètement abstinent. Sans rancune, mais plus de "C'est mon fils". À vous Paris.

Poème rescapé de mes commentaires à un article de Mathias Thépot, je publie ce petit portrait acide d'un macroniste-type.

Laissons le pote se foutre de nous et de nos responsabilités, et faisons de l'autopromotion pour des lignes fouettantes (dsl).

En train de lire un dictionnaire de la méchanceté, qui m'a inspiré ce poème dédié à un pote que j'aime et qui souffre (et qui kiffe aussi).

Aux lecteurs et lectrices de Mediapart. J'ai dû, à l'instar de la gigantesque majo majorité des classes politique et patronale, passer pour un bonimenteur, à force de mettre en avant des projets qui ne montrent pas le bout du nez.