Craftpart, tué le lion

Cette nuit (ce qui change pas mal de chose, me dis-je), j'ai envie de traverser le mur du sommeil, écrire, dessiner, dessiner la grotesque farce macronienne. Bonus ensoleillé.

Je disais que je me sentais incapable de résumer un poème, mais voilà, je vais faire le ménage dans mon blog (maintenant qu'elle est partie).

Moi, je flippe. Moi, je bouge. Moi, je ne philosophe que prudemment.

Je me reconnecte, en anglais, au club de Mediapart, j'angoisse un peu de mon anonymat, mais, ah oui, j'adore Nina.

Trois lignes pour les Ubu aux œillères

Et toute la musique qui vous fait la gueule... à mourir de rire

Chapeau, les responsables, les représentants ! Moi, on m'a déjà mis sous camisole de force, en cellule, sous traitement psychiatrique, de force, je rends les coups.

Ma lettre à Clémentine Autain, plus farfelue que je n'aurais souhaité.

Modestie mise à part, je l'ai alors vu croquer le bourgeois attablé et repartir, sourire machiavélien sous la moustache, cinq ou dix mille pesos dans la pogne, et mon crayon dans la poche.

C'est ridicule, mais juste l'image de couverture de mon blog, mais bien sûr aussi une autopromotion pour mon site web, que je m'apprête à pende d'assaut maintenant que c'est bon, j'ai les tipes de dire leurs quatre vérités aux libéraux de tous poils. De toutes façons, je n'ai jamais rien compris au mot liberté.