fredericsabourin
Journaliste free lance - Enquêteur - Ecrivain - Photographe - Educateur aux médias pour la jeunesse (et même les + vieux)
Région Nouvelle Aquitaine - France
Sa biographie
Radio, presse écrite, photo, web. Auteur de "Franchir les Pyrénées sur les chemins de la liberté" (ed. Ouest-France 2011). Apprécie le hors champ, le contre courant, les marges.
Son blog
17 abonnés
La charentaise libérée
- 150 billets
- 0 édition
- 0 article d'éditions
- 0 portfolio
- 0 lien
- 0 événement
- 15 contacts
Ses billets de blog
Voir tous-
« Souffler sur les braises » (le conte de Noël de l’épicerie solidaire E.I.D.E.R.)
Depuis quelques jours, tout le monde ne parle que de ça : de la pub Intermarché avec un loup qui essaie de manger autre chose que de la viande, sur fond de Claude François « Je suis le mal aimé ». Depuis quelques jours, je suis à l’affût de ce que bénévoles et bénéficiaires de l’épicerie solidaire itinérante E.I.D.E.R. peuvent dire, ou faire, à l’approche de Noël. -
Le Festival de la bande dessinée d’Angoulême expliqué à ma fille
-
L’Étranger : François Ozon a-t-il vraiment osé ?
En adaptant fidèlement le réputé inadaptable roman d’Albert Camus, François Ozon fait œuvre de (très) bon élève. Au détriment d’une interprétation plus contemporaine, qui sait ? -
Nouvelle vague : Richard Linklater transforme À bout de souffle en raz-de-marée
Le Texan Richard Linklater reconstitue le tournage du 1er film de Jean-Luc Godard, À bout de souffle, qui emporta tout sur son passage en 1959. Ça n’était pas une mince affaire de s’attaquer à une œuvre aussi patrimoniale, et les gardiens du temple Godard l’attendaient au tournant. Le résultat est à la hauteur des ambitions et des attentes : vif et joyeux, Nouvelle vague est un pastiche réussi. -
Rembrandt : plus obscur que clair...
Le dernier film de Pierre Schoeller, thriller anxiogène, nous plonge dans le nucléaire et le changement climatique, avec pour point de départ une fascination pour des toiles de Rembrandt. Si le sujet suscite l'intérêt, la réalisation, trop engoncée, et l'interprétation, pas toujours convaincante, lassent un peu...