Témoignages reçus d'Iran (principalement Téhéran) traduits au jour le jour pour amplifier et propager les voix bâillonnées du peuple iranien en lutte.
Tous les textes de ce blog sont aussi repris et1…
progressivement traduits en anglais sur le site internet suivant : https://femmevieliberte.wixsite.com/my-site Ils sont libres de droit pour toute utilisation à bon escient, c'est à dire pour contribuer à l'information de tous (de préférence sans modifications et avec mention de la source)
J'ai interrogé mes contacts en Iran sur les discordances qui se font entendre sur les réseaux sociaux au sujet des revendications à porter. Mes questions portaient sur la question des sanctions et la fermeture des ambassades. Cette réponse est à la fois incomplète et bien plus riche que celle que j'attendais. Merci à ceux qui sont encore là.
Un Régime qui entend rester au pouvoir en tuant des petites filles et en intimidant des actrices a-t-il une chance de survivre à un soulèvement populaire ? La réponse à cette question en dira long sur le genre de monde que nous sommes prêts à accepter. Les paris sont ouverts. En attendant, voici un témoignage tout frais du jour !
Un nouveau témoignage de Téhéran, avec des morceaux de Poésie dedans.
Il y a à nouveau des articles sérieux sur cette Révolution qui réclame son nom, dans les grands organes de presse (et en une de Mediapart). Lisez, partagez, réagissez.
Hier, un homme en colère, aujourd'hui une femme en lutte. Je continue de partager les messages venus de Téhéran. Demain une nouvelle journée de mobilisation est prévue, la peur est aussi tangible que la détermination, dans ces voix d'Iran qui peinent à se faire entendre. Prenez le temps de lire. Partagez. Pensez.
De nouvelles réponses de Téhéran, sur les libérations de prison, les sanctions commerciales, les violences d'état, la révolution, et les espions français.
Nos enfants sont magnifiques. Ils sont talentueux, ils sont braves, ils sont éblouissants comme un jour qui se lève, et d'ailleurs ils s'obstinent, à croire que le jour se lèvera. Et pourtant ils les tuent. S'il vous plaît prenez une minute pour bien peser ces quatre mots : ils tuent nos enfants.