Témoignages reçus d'Iran (principalement Téhéran) traduits au jour le jour pour amplifier et propager les voix bâillonnées du peuple iranien en lutte.
Tous les textes de ce blog sont aussi repris et1…
progressivement traduits en anglais sur le site internet suivant : https://femmevieliberte.wixsite.com/my-site Ils sont libres de droit pour toute utilisation à bon escient, c'est à dire pour contribuer à l'information de tous (de préférence sans modifications et avec mention de la source)
Plusieurs propositions culturelles pour créer du lien avec la création vivante de l'Iran en lutte, et un nouvel entretien avec Hossein Hajizadeh Siboni, artiste iranien en exil, à l'occasion de sa nouvelle exposition.
Ce témoignage est arrivé de Téhéran aujourd'hui, après une longue periode de relatif silence, où mes proches se contentaient de courts messages presque creux, comme trois coups frappés sur une cloison pour dire « je suis vivant » . Il aborde notamment le sujet des empoisonnements dans les écoles. L'auteure est directement concernée mais a choisi de rester vague pour des raisons de sécurité.
Le billet d'aujourd'hui revient brièvement sur le traitement médiatique de la situation en Iran, puis lève le rideau sur les traditions de Nowrooz, le nouvel an Iranien, que nous célébrons ce soir.
Ce témoignage reçu de Téhéran explique la tradition de Chahar-Shanbeh-soori, qui donne lieu cet année à un appel à manifester trois nuits de suite à travers le pays.
En ce 8 mars porteur de nombreux combats, je reprends quelques mots au poète Shafiei Kadkani, pour tenter de porter jusqu'ici la flamme du combat des femmes d'Iran. Vous pouvez les soutenir en allant manifester (à 14:00 place de la République pour les parisiens), ou simplement en amplifiant leur voix.
Nous étions des dizaines de milliers à Bruxelles, hier. Le silence des médias est assourdissant, mais je me laisse un peu de temps pour revenir là dessus. Le témoignage d'aujourd'hui parle d'autre chose, et pourrait aider ceux qui en doutent encore à comprendre pourquoi notre combat concerne tout le monde.
Il est probable que le monde se souvienne, dans 30 ans et même davantage, du temps qu'il aura fallu, aux peuples mais surtout aux dirigeants du « monde libre » pour se tenir enfin du bon côté de l'Histoire.
Je vous propose cet entretien réalisé à l'occasion du vernissage de l'exposition « Prisonniers Politiques ». Hossein Hadjizadeh Siboni nous parle de son parcours, de ses inspirations, et du combat pour la liberté.
Le fossé se creuse, entre la réalité du terrain, où la violence d'état n'en finit pas de se surpasser, et les discours et actions de "la communauté internationale". Aussi essentiels que soient les témoignages directs, j'ai le sentiment qu'il est temps, maintenant, de faire un peu plus de bruit. Lisez, partager, questionnez, participez. C'est une question de vie ou de mort.
Aujourd'hui je vous propose de fouiller dans le téléphone d'une adolescente. Ne vous inquiétez pas, elle est d'accord. En fait, elle VEUT que vous regardiez.