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Retour sur les deux nouvelles exécutions qui ont eu lieu aujourd'hui, avec une nouvelle perspective, et un regard dans le sinistre rétroviseur des bourreaux de la République Islamique.
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Et donc, hier, pour célébrer cet "International Cutlet Day", nombreux sont les iraniens à avoir cuisiné ce plat, de façon un peu revancharde, pour contrer l'offensive de propagande glorificatrice du régime, qui placardait partout des portraits géants du "héros de la nation". Certains sont allés brûler les portraits, d'autres sont restés à la maison et ont cuisiné.
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Des fruits issus de la classe ouvrière, une famille séparée par les frontières, des lettres d'amour plutôt que de noblesse, à la plume trempée dans l'encre prolétaire... La lettre d'aujourd'hui est un coup d'œil indiscret sur les conséquences intimes de l'agitation révolutionnaire.
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Mais c'est le nouveau paradigme. Les bannières, les statues, des choses comme ça, et les produits ménagers et l'état de siège, et la façon étrange dont Internet fonctionne ou non, et le fait que j'écrive ces choses, sont une réalité maintenant. Et aussi le fait qu'il fasse froid, et que nous soyons enveloppés d'hiver et de smog.
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La République islamique est une secte religieuse abusive qui a volé l'Iran. Et ces gens ne nous ont pas seulement volé l'Iran à nous, le peuple iranien. Ils ont volé l'Iran, au monde entier. Ils vous l'ont volé.
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Fibre capillaire, fibre optique, fibre patriotique, fibre maternelle, le témoignage d'aujourd'hui file sa métaphore pour tisser un rapide tableau de la situation actuelle, et du rapport de force entre le régime et la révolution.
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Notre jeunesse danse et chante contre un pouvoir qui veut la faire taire, et éteindre les flammes de son énergie et de sa créativité. Mais la musique est dans notre camp, dans le camp de la vie, de la liberté et de la joie. Aujourd'hui, je vous propose une Playlist éclectique, pour découvrir un peu plus l'Iran, sous un nouvel angle.
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Cette révolution est un véritable catalogue de symboles, foisonnant de créativité et de références universelles, et elle est portée par un réservoir inépuisable de jeunesse, qui tiendra tête aux vieillards qui lui font face, armés de leur seule violence, et qui ne défendent que leur propre existence, sous le masque d'une culture sclérosée et rance, dans laquelle plus personne ne se reconnaît.
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Il est étrange de voir comment on peut en fait reconnaître ces personnes simplement à la façon dont leurs yeux semblent sans vie. Zombie, c'est le nom que les jeunes leur ont donné. Mais ici, ce sont les zombies qui tiennent les fusils de chasse.
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Selon que vous serez puissant ou misérable... Ah mais en fait non. La République Islamique ne fait pas le tri, on ne peut pas l'accuser de privilégier ses VIP. Elle torture à égalité le chanteur local et le rappeur superstar, et fait bien savoir à chaque citoyen, même riche et célèbre, que le destin de sa famille ne dépend pas de lui.