ROSALUX | Un autre monde est possible... écoutez-le !

Cycle de 5 réunions publiques autour de la thématique sur la Démocratie

Une faillite morale : les pays riches abandonnent des millions de réfugiés à un sort cruel et incertain

Les femmes ont toujours été présentes sur les routes migratoires ! Aujourd’hui la migration s’est largement féminisée et les femmes étrangères représentent la moitié de la population migrante.

L’université française est aujourd’hui la proie d’une destruction sans précédent. Les politiques de « réforme » ont soumis l’Université – recherche, enseignement, études, diplômes – aux intérêts de l’économie de marché.

Faire reconnaître le droit à la ville pour tous, c’est en finir avec la machinerie du sparadrap

Lobbyistes au service d’une entreprise ou d’un secteur industriel, PDG de transnationales dont le chiffre d’affaires est supérieur au PIB de plusieurs des pays dans lesquels elles sont implantées, instances quasi-étatiques dont les réseaux tentaculaires se déploient bien au-delà des frontières nationales

De la maternelle au baccalauréat, l’école est mixte, les enfants sont élevés ensemble, sur des programmes communs, avec des examens communs. Il est révolu le temps où, pour obtenir le certificat d’études, les filles devaient subir une épreuve de couture et les garçons de travaux manuels.

Ecoutez la conférence "Jean Stern - Lanceurs d’alerte : quelles conséquences ? Quelle protection ?" iciRosalux : un autre monde est possible... écoutez-le !Ils sont la hantise des administrations, des banques, des armées, des ambassades : depuis une décennie, les lanceurs d’alerte dévoilent la face cachée des institutions. Médecins, informaticiens, soldats, banquiers, ils ne veulent pas couvrir les vilenies dont ils ont connaissance. Evasions fiscales, dangers sanitaires, écoutes illégales, exécutions sommaires : rien n’échappe à leur vigilance.

Ecoutez la conférence "Nostalgérie, l’interminable histoire de l’OAS !" iciRosalux : un autre monde est possible... écoutez-le !Pour des centaines de milliers d’Européens qui ont naguère vécu en Algérie, l’idéalisation du passé s’est transformée en une « nostalgérie », beau mot chargé de mélancolie. Mais le drame commence lorsqu’on constate qu’une seule famille politique française, celle des anciens de l’Organisation armée secrète (OAS) et de leurs héritiers, l’a malhonnêtement et durablement instrumentalisée. Non contents d’avoir mené toute une communauté à l’impasse puis à l’exil, les « ultras » de l’Algérie française ont tenté, depuis, d’accaparer sa mémoire. Et ils y sont en partie parvenus.