-
Durant 4 années, ce ne sont pas seulement 10 personnes qui ont été mises en examen dans une instruction pour association de malfaiteurs, ce sont de dizaines d'autres qui ont été la cible d'écoutes, perquisitions, harassement policier quotidien. Un récit inédit qui ressort dans les 64 pages de ce livret de témoignages que nous partageons aujourd'hui.
-
« La mise en examen d’une dite “bande de malfaiteurs” en juin 2018 vise des personnes engagé·es contre une destruction environnementale accrue, à un moment ou un changement de cap est plus que nécessaire ». À moins de dix jours du procès, nous publions une tribune de soutien aux « malfaiteurs » signée par une cinquantaine d’organisations.
-
L'instruction pour association de malfaiteurs engagée contre la lutte de Bure s'est clôt en novembre dernier et conduit au final à l'inculpation et le procès de 7 personnes, les 1,2,3 juin prochain au tribunal de Bar-le-Duc. Voici l'historique de cette affaire et de la répression judiciaire et policière qui a étendu sa chape de plomb sur une lutte toute entière durant ces 4 dernières années.
-
La Coordination Stop Cigéo appelle tous ses soutiens et toutes les personnes qui se sentent reliées à la lutte contre le projet Cigéo à venir au procès des « malfaiteurs » de Bure les 1, 2 et 3 juin. Sept camarades de lutte comparaîtront devant le tribunal correctionnel de Bar-le-Duc. Le clap final de l’absurde accusation « d’association de malfaiteurs » qui aura lourdement affecté la lutte à Bure.
-
Une lettre à toi qui à différents moments de l'histoire de la lutte de Bure contre le projet d'enfouissement de déchets radioactifs Cigéo est venu, a vécu et partagé des moments de vie et de lutte ...
-
Après 4 années d’instruction pour « association de malfaiteurs », des milliers d’heures d’écoutes par la gendarmerie, un dossier de 15.000 pages, des mètres cubes de matériel saisi, un harcèlement policier omniprésent dénoncé par la Ligue des Droits de l’Homme, l’heure de la mascarade judiciaire a sonné.
-
De cinq en juin 2018, on est passé à sept en septembre, à huit en août 2019, neuf en octobre puis dix en novembre. Dix malfaiteurs.ses mis.es en examen et placé.e.s sous contrôle judiciaire d’interdiction d’entrer en contact et de territoire, pour 15 000 pages d’un dossier qui s’épaissit de 2000 pages tous les 3 mois.
-
Si les brûlots dont nous avait gratifié l’Est Républicain lors de la manifestation Vent de Bure ne nous avaient pas trop surpris, en revanche on peut l’être, pour le moins, quand on voit le spécimen qu’a produit cette semaine le Courrier International en terme de journalisme médiocre, avec l’article de Fabian Federl du Tagesspiegel de Berlin.
-
Il y a quelques semaines nous alertions via les réseaux sociaux de la sortie d'un concours de science-fiction organisé communément par l'agence de communication Usbek & Rica et par l'Andra qui la rémunère afin de promouvoir une image «cool» et désirable du nucléaire.
-
Après plusieurs mois de silence, certain-e-s des inculpé-e-s de «l'association de malfaiteurs» de Bure commencent à prendre la parole. Une chaîne Youtube se lance, pour diffuser la parole des inculpé-e-s, et de tous-tes celles et ceux qui refusent d’être les prochain-e-s sur la liste répressive.