Si tu ligotes mes concetés et que tu panes rien, c'est pas la mort; le contexte se suffit à lui seul. Sur ce blog, tu liras mes états-d'âme et si c'est trop grossier pour tézigue, décarre en sourdine...…
Autrefois, quand des militant.e.s évoquaient leur appartenance à une orientation politique ou à un parti, ils/elles se définissaient avec des termes empruntés au parti ou à l'idéologie en question.
Sorti du bahut à 20 piges, de l'armée à 22, j'ai tafé au black et fait quelques contrats précaires (T.U.C, S.I.V.P, journalier pour des enquêtes, vendeur de brioches, manœuvre au black dans le BTP -c'était les années 80 et y'avait pas de taf- ou encore commissaire aux courses), je n'ai commencé à turbiner "réellement" (après ma formation d'aide-soignant) qu'en avril 1994 (à 26,5 balais).
Une chanson qui évoque les pervers de toutes sortes (harceleurs, pédophiles, pervers narcissiques etc...).
Clique-droit si tu veux télécharger cette chanson.
Après une vingtaine de mails auprès de lieux de diffusion culturelle (bistrots, salles de spectacles etc...), et 4 mois d'attente, je n'ai reçu que 3 réponses...
Quand un président de com/com (élu, donc au service de ses administré.e.s) adopte une politique managériale agressive, y'a plus trop à s'interroger sur l'empreinte macronique (nienne) laissée par les deux mandats du poudré autocrate...