Aux vues de la complexité de cette histoire-là, je ne sais plus trop par où commencer. J’ai presque perdu le fil de la réalité qui s’estompe au lointain en filigrane. On s’y perd corps et âme, plus de repères tangibles, plus de balises. La quête de sens reste illusoire, sans horizon, sans lendemain…
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.