Ce billet est la continuation de mon billet "Autour des termes "blogueur du 21ème siècle" et "défenseur de notre participatif" est fait suite à un accident de "Game " baptisé "Blague" m'ayant causé une semaine d'"arrêt maladie"...
Trouble en « Plus - Hault - Sens » « Prendre feu sans cri »,Murmurait le musicien G.Scelsi au fronton de son poème :« La Conscience Aigüe ». Depuis le doux glouglou du ruisseau ou le bercement des frondaisons sous l’haleine du soir jusqu’au chant de l’alouette saluant l’astre du jour, tout fait sens.
Toi, Shakti !
Transverbérante et verbérante voix de « l’Embryon d’or » Autant que de l’azur vibrant d ‘« In Paradiso » Laisse-moi chanter ton effusion cosmique Dans l’Éternité d’une lumière gelée !
« La musique est le médium qui, par la magie du nombre, nous plonge dans l’essence du monde caché derrière la quantité et le désordre des phénomènes, essence faite d’Unité et d’Harmonie». Schopenhauer
Ô JOIE FATIGUÉE DE L’AMOUR ! CONDUIS NOUS JUSQU’EN CE ROYAUME LÀ, Où NOS SOUFFLES MÊLÉS, IVRES DE LEURS PROPRES VERTIGES PERDENT PIED ET S’ESSOUFFLENT DANS L’APNÉE COSMIQUE D’Â KASHA L’INDIVISIBLE…
Tu es là Sub Specie Aeternitatis Dans les givres d’Islande De sombres inquiétances étrangement vibrés Dans les cirques de glace Dressant l’astral orgueil d’immanence gelé Tu es là !
Mon Opus est la cristallisation d’une histoire que « les syllabes cachées de ce qui arriva si longtemps auparavant » conduisirent à la stellification :
« De Catena Aurea ou Indra Collare » est le chant de cet arrière-plan subliminal accompagnant le premier chant à l’instar du process dont Elliott Carter accompagna « Syringa » ( poème de J.Ashbery)