Ce jour-là, deux avions ont atterri l'un après l'autre à l'aéroport de Dulles. L'un transportait la délégation suédoise chargée de finaliser la lourde adhésion à l'OTAN et l'autre, la personne qui a maintenu le processus en suspens. M. Biden a salué la Suède à Washington, tandis que le Hongrois Orban rencontrait le sceptique Trump en Floride, le couvrant d'éloges.
Two airplanes landed after one another on Dulles Airport that day. One was carrying the Swedish delegation to finalize the onerous NATO membership and the other one, the Hungarian who kept its process hanging. Biden hailed Sweden in Washington, as Victor Orban met NATO sceptic Trump in Florida, praising him to the skies.
En cette « année mondiale des urnes », qui concerne plus de la moitié de la population mondiale, les élections locales en Turquie sont plus importantes que ce qu'on pourrait imaginer. Le résultat indiquera probablement la forme finale de l'identité de son régime. L'homme fort de la Turquie, Erdoğan, pleinement conscient de l'importance de ces élections pour la consolidation de son pouvoir, semble prêt à donner un dernier coup de collier.
As the municipal elections approach, Turkey’s often disappointed and disarrayed “anti-Erdoğan” voter base may come to fear the worst. Opposition alliances vanished and now, parties acrimoniously nominate their own candidates, instead of challenging Erdoğan in a united format. The key battlefield will be Istanbul - hub of Turkey’s economy, which Erdoğan seems determined to “reconquer”.