50 ans après le n° d’Esprit : Que veut le travail social ?
1972 : Esprit publie un n° spécial sur le travail social qui a fait date. La Revue française de service social publie aujourd’hui une série d’articles pour analyser l’état de ce secteur, plutôt préoccupant, et les rêves d’un avenir meilleur.
La Revue française de service social, revue de l’ANAS, association nationale des assistants sociaux, a souhaité marquer l’anniversaire de la parution en avril-mai 1972 du numéro de la revue Esprit, Pourquoi le travail social ? en publiant un dossier Que veut le travail social ? Le n° d’Esprit a marqué tout une génération de travailleurs sociaux : sans forcément avoir été lu dans le détail, il portait en germe une contestation, après mai-68, du système et de son dispositif d’actions éducatives et sociales (voir infra).
L’ANAS joue sur la même interrogation, comme si toute réflexion sur le travail social devait passer par cette incertitude : des titres se terminant par des points d’interrogation (à moins que cela puisse signifier qu’il n’y a point d’interrogation). Une des pionnières est Colette Manger : Pourquoi des travailleurs sociaux ? en 1969 (je me souviens l’avoir rencontrée lors de la présentation de son ouvrage, cette année-là, à l’Université de Saint-Etienne). Esprit récidive en 1998 : À quoi sert le travail social ?, puis Saül Karsz publie Pourquoi le travail social ? en 2004, et Jacques Moriau À quoi sert le travail social ? (article dans une revue d’histoire, le Carhop, en 2018) . En réalité, le dossier de l’ANAS, malgré le point d’interrogation récurrent, est plus affirmatif sur les « crispationssociétales » d’une part, et sur « les rêves d’un travail social précurseur », d’autre part, comme le précisent dans l’éditorial Isabelle Boisard, Cristina De Robertis et Joran Le Gall, qui estiment que face à la diversité des discours politiques, administratifs, économiques qui entendent lui dicter la marche à suivre, il importe que le travail social sache définir ce qu’il est et ce qu’il importe de faire.
Dans la première partie, analysant les métamorphoses du travail social, Emmanuel Jovelin, professeur au CNAM, titulaire de la chaire de travail social, rappelle l’écrit de Nicole Questiaux, ministre de la Solidarité nationale en 1981 et 1982 qui fixait pour le travail social des perspectives élaborées mais qui a été brisée dans son élan par François Mitterrand (il la remplace bien vite par Pierre Beregovoy, artisan du "tournant de la rigueur"). Non seulement elle connaissait bien son sujet mais encore elle aurait certainement rechigné à appliquer une politique de restrictions que prônaient les ‘socio-libéraux’ de la gauche. Son texte (Adresse aux travailleurs sociaux) reste une référence même s’il s’est empoussiéré sur les rayons des bibliothèques.
Jovelin décrit les conséquences de la crise économique des années 1975 à l’origine d’une « nouvelle question sociale » ayant alimenté la crise de l’État social. Il se fait l’écho des misères auxquelles les travailleurs sociaux sont confrontés, alors qu’eux-mêmes sont démunis. L’individu est renvoyé à son autonomie et l’action sociale est marchandisée.
Saül Karsz, philosophe, sociologue, estime que face à tout ce qui entrave l’action des travailleurs sociaux, il importe qu'ils esquissent des parades non pas de façade mais bien réelles et efficaces. Michel Chauvière, directeur de recherche émérite du CNRS, propose que l’on parle plutôt de « travail (du) social ». Il retrace l’historique : le service social généraliste, en réponse à la précarisation d'une partie (ouvrière) de la société, avec en parallèle, au même moment, l’apparition du secteur de l’animation et de l’éducation spécialisée, pour arriver aujourd’hui à un affaiblissement de la protection sociale, gangrenée par « un néotechnicisme peu humaniste ». Chauvière critique le n° d’Esprit de 1998 qui était une fausse interrogation mais bien plutôt une critique des professionnels, sans se préoccuper de ce qu’ils font réellement. Il dresse un réquisitoire en règle contre l’évolution du secteur, voulue par le pouvoir : renvoi de l’action éducative et sociale au privé et remise en cause des formations. Le moyen de s’en sortir : non pas s’illusionner sur une prétendue unité des valeurs du travail social, mais prendre acte de son hétérogénéité, tout en défendant « l’esprit de service public et de paritarisme entre décideurs, employeurs et ‘œuvriers ‘ ».
Antoine Guillet, assistant social, sociologue et formateur, s’appuyant sur différents auteurs (Michel Foucault, Barbara Stiegler, Marc-Henry Soulet, Isabelle Astier), analyse ce que signifie la création de dispositifs divers dans l’intervention sociale moderne. Il voit un renvoi non plus à la solidarité générale mais à la responsabilité de chacun. La logique « droits et devoirs » serait « une inversion de la dette sociale ». L’individu n’est pas responsable de sa situation (évaluée de telle sorte que soient mises en évidence ses failles et ses manques ) mais il est responsables des solutions à trouver. Il évoque « la psychologisation de la question sociale » et la « dérive hygiéniste », citant Yves Clot et son travail sur les risques psychosociaux au travail (privilégier une approche prédictive, se fonder sur des inquiétudes). La pensée gestionnaire d’en-haut infuse sur les travailleurs sociaux eux-mêmes qui « finissent par penser comme l’institution ». Analyse percutante, pas si éloignée de ce qui s’écrivait il y a 50 ans et qui finit sur « le développement de l’aide contrainte » qui ressemble fort au thème du « contrôle social » de jadis.
François-Xavier Duveau, assistant social en polyvalence de secteur, s’attaque au positionnement du travail social face à l’extrême droite. Il cite des exemples où les travailleurs sociaux se sont trouvés confrontés à des militants d’extrême droite, comme avec l’affaire du Bastion social de Strasbourg qui a instrumentalisé une demande de logement pour un sans-abri ou celle des salariés de la CAF de Bobigny subissant un happening d’Identitaires sur le toit de l’institution réclamant « de l’argent pour les Français. Pas pour les étrangers ». Après avoir décrit les discours tenus, politiques mais aussi dans l’entourage des professionnels, l’auteur essaie de décrire les attitudes à adopter pour résister. D’abord ne pas isoler le travail social des autres questions qui traversent la société (être mobilisés sur les droits des migrants par exemple), mais aussi, à l’instar du mouvement Exit en Allemagne, envisager de mettre en place une aide aux militants d’extrême droite voulant quitter cette idéologie mortifère. Rester vigilant pour ne pas accepter des actes professionnels contraires aux valeurs du travail social (par définition contraires à celles de l’extrême droite). Il conclut en citant l’exemple de cette assistante sociale de Varsovie, Irena Sendlerowa, travaillant au service d’aide sociale de la ville, qui intervenait dans le ghetto juif et organisa la fuite d’enfants vers des réseaux clandestins.
Jonathan Louli, travailleur social, anthropologue et formateur, qui a suivi un chemin inverse de ce qui se fait d'ordinaire, passant de sociologue à travailleur social puis formateur, perçoit de plus en plus la notion de travail social comme « une divinité malade et contrariée » dont on essayerait de comprendre le courroux. Il s’agit, c’est selon, de contrôle social ou d’assistanat, dans tous les cas, tout ça est imprégné de conceptions morales. Le travail social est une idée abstraite qui peut difficilement « vouloir » quoi que ce soit (en réponse au titre de la revue, qui suppose que le travail social "veut"). Du coup l’auteur récuse une vision idéaliste et en appelle à une approche radicale du travail social qui, en définitive, est tout simplement « un ensemble de rapports entre des sujets humains concrets » (accompagnés, accompagnants). Ce rapport ne peut être réductible à un objet entre les mains du capitalisme qui cherche à l’"industrialiser". Ces tensions sont décelables en bien des secteurs : hôpital, psychiatrie, prise en charge des personnes âgées dépendantes, où l’on assiste à une instrumentalisation des activités et un formatage des pratiques, parallèlement à une prolétarisation des personnels. Il propose quelques pistes pour résister, entre autres s’unir tout en valorisant des différences (de pratiques, d’activités) qui sont la force, vivante, du secteur.
Pour ma part, dans l’article que je publie dans ce numéro (en tant que chroniqueur social), je constate que le travail social est face à une contradiction entre ses valeurs humanistes et la rentabilité du libéralisme économique. Par ailleurs, opinion publique, médias et décideurs ont du mal à admettre que le travail social soit un vrai champ professionnel. Les professionnels agissent sur le terrain, tandis que d’autres stigmatisent les publics aidés (assistanat) ou instrumentalisent la protection de l’enfance. Je conclus que les militants du travail social peuvent surmonter le défaitisme ambiant par l’affirmation d’une solidarité forte avec les publics. Je publierai sur ce blog prochainement, en intégralité, ma contribution intitulée : Affirmer notre solidarité.
La seconde partie cherche à faire émerger les rêves d’un travail social précurseur. Karima Gacem, éducatrice spécialisée, doctorante en sciences de l’éducation, prône « un travail social humaniste, émancipateur et politique ». Cela suppose que l’on sache s’appuyer sur le « savoir expérientiel des personnes accompagnées ». Pourtant, le constat n’est pas réjouissant : baisse des effectifs dans les formations (les métiers n’attirent plus) et les témoignages de souffrance au travail sont de plus en plus fréquents. L’auteure se réfère à la définition internationale du travail social (qui promeut « le changement et le développement social, la cohésion sociale, le développement du pouvoir d’agir et la libération des personnes »). Il n’est question que de justice sociale, de droit de la personne, de respect des diversités, ce qui conduit Karima Gacem à se prononcer pour « un travail social anticapitaliste, antiraciste, antihétérosexiste, féministe, écologique, internationaliste et finalement antioppressif ». Pour conclure sur le care qui se fonde sur la façon dont les besoins des personnes sont entendus et pris en compte.
Julie Huvelin, assistante sociale, ingénieure sociale, face à la perte de sens dans le secteur, due à l’uniformisation des interventions et à la non-prise en compte des singularités, défend l’approche du travail collectif, seul moyen d’impliquer réellement les personnes aidées. Prenant en compte les règles déontologiques existantes (code, charte), elle milite pour qu’un texte éthique soit commun à toutes les professions sociales pour mieux résister aux menaces qui pèsent sur elles.
Lauluca, assistante sociale en polyvalence de secteur, auteure d’un texte fort sur son blog de Mediapart sur la Maltraitance managériale en Service Social(en accès libre), rend compte des actions nombreuses dans le secteur éducatif et social, analyse la critique déjà ancienne du contrôle social, de la bureaucratisation des assistants sociaux, s’inquiète des nuages noirs (haine, mépris) mais garde l’espoir que l’humain l’emporte.
Ingrid Dromard, docteure en philosophie, directrice d’une ADMR, et Anneliese Vernaz, chargée de conseil et de développement dans une CAF, tentent de définir le travail social et de décrire ce qu’il est devenu aujourd’hui, contraint à privilégier le rationnel au relationnel, dans un contexte de montée de la (grande) précarité et de régression des moyens. Conscientes que le mal-être au travail est le plus souvent lié à l’institution qu’aux publics accompagnés, les auteures défendent l’idée de s’emparer des GRT (groupes de rencontres du travail), qui n’ont pas de fonction thérapeutique mais pour but d’améliorer l’organisation du travail.
Sylvie Kowalczuk, assistante sociale, citant Robert Castel, reprend la métaphore du passeur qui s’aperçoit au cours de la traversée qu’il n’y a plus de berge. Que faire ? Abandonner les passagers ? Le travailleur social doit s’impliquer pour dénoncer politiquement les processus qui déshumanisent les personnes, ce qui implique qu'il prenne la parole. Pas seulement dans le petit cercle fermé des spécialistes, mais « contre-pouvoir de médias étouffés dans leur fonctionnement exclusivement binaire et polémique ».
Enfin Joran Le Gall, président de l’ANAS dans un court texte, explique les raisons qui l’ont motivé pour participer à la manifestation du 1er février 2022 des salariés du secteur social : parce qu’il ne cesse d’entendre parler de sans-abri, de problèmes dans la protection de l’enfance, mais constate que les réponses sont inexistantes ou insuffisantes. Il faut passer son temps à expliquer la réalité aux financeurs qui récusent l’invocation de la dignité (qui ne se voit pas et ne rapporte rien). Moralité : des professionnels s’en vont. « Ce que je voudrais, c’est pouvoir remettre de la chaleur là où il n’y a que de la douleur, pouvoir redonner le sourire dans la tristesse, offrir du choix là où il n’y en a plus. Parce que ça je sais le faire, pas le reste ».
Cet ouvrage publié par l’ANAS, ouvrant des champs de réflexions et d’actions, est de haute tenue, faisant honneur au n° d’Esprit auquel il voulait rendre hommage. Site de l'ANAS : ici. Extraits du n°, sommaire et commande du n° : ici.
. Point d’interrogation (suite) : Le travail social, dans quel état ?, c’est ainsi que j’ai titré moi-même un article dans lequel j’évoquais les États généraux du travail social (EGTS), en 2016. On y trouve un lien avec le texte fondateur de Nicole Questiaux, établissant les orientations principales du travail social, toujours pertinentes quarante ans plus tard.
[coll. pers. YF]
Agrandissement : Illustration 2
Esprit 1972 : Pourquoi le travail social ?
En avril-mai 1972, il y a tout juste cinquante ans, la revue Esprit publiait un numéro spécial qui fit grand bruit dans le landerneau du travail social. Titré Pourquoi le travail social ?, il tentait de répondre à la question sur 268 pages, 17 articles, une table ronde et 19 auteurs. Les promoteurs de cet ouvrage avaient prévu de traiter non pas des travailleurs sociaux mais du travail social : ayant consulté des travailleurs sociaux, ils avouent avoir été déçus d’un apport trop axé sur eux-mêmes et trop respectueux des institutions. Au final, ils furent surpris de produire des textes qui contestaient « les nouvelles formes de contrôle social ». Malgré un propos critique ou du fait même de cette approche remettant en cause les cadres de pensée, les travailleurs sociaux furent impactés par un document qui confortait leur perception plus ou moins confuse que dans une société pompidolienne post-68 on leur faisait jouer un rôle contraire aux valeurs affichées du travail social.
Deux ans auparavant, pour connaître le point de vue des travailleurs sociaux, la rédaction avait lancé auprès d’eux un questionnaire et reçu 200 réponses. Grosso modo, les professionnels revendiquaient d’être considérés comme exerçant un métier, ce qui amenait les coordonnateurs du numéro à se poser la question suivante : « Ne doit-on pas craindre que le refus du bénévolat ne soit pas aussi progressiste qu’il en a l’air, et que, pour ne plus être des dames d’œuvre, les professionnels du travail social ne deviennent des techniciens de la ségrégation ? »
Si un auteur comme Gilbert Mury a milité au parti communiste marxiste-léniniste (allant jusqu’à soutenir le dictateur d’Albanie Enver Hodja), d’autres sont plus dans la mouvance chrétienne personnaliste chère à Esprit, comme Jacques Julliard, qui veut se dégager du marxisme, se démarque du rejet des sous-prolétaires par ce dernier, et demeure sur un registre critique considérant que si les marginaux ne sont pas en tant que tels des acteurs politiques, il n’empêche que les « normaux » peuvent intégrer l’action des marginaux en prenant conscience qu’ils deviennent eux aussi marginaux, éprouvant diverses formes d’exclusion. Philippe Meyer est sur cette même approche, mais plus sévère à l’encontre des travailleurs sociaux qu’il qualifie de « contrôleurs ». C’est sûr que les relire en sachant ce que ces donneurs de leçon sont devenus c’est cocasse : l’un éditorialiste de Marianne, sur des positions d’une gauche laïcarde, social-libérale, et l’autre proche de François Bayrou (on a du mal à imaginer que c’est lui qui publia ce brulot que fut L’enfant et la raison d’État, Le Seuil, 1977). J’ai rencontré Jacques Julliard à peu près à la même époque (septembre 1972) lors d’une session d’une École Normale Ouvrière (ENO) de la CFDT, à Villers-le-Lac (Doubs) : leader du SGEN (syndicat enseignants), il venait prêcher la bonne parole, roulant les mécaniques sur son entregent et son aptitude à rédiger un article pour Le Nouvel Observateur pour présenter et critiquer un rapport sur l’éducation pour l’Unesco que venait de publier Edgar Faure (Apprendre à être).
Plusieurs autres signatures connues : Michel Chauvière est déjà là (qui sera l’auteur de nombreux ouvrages sur le social dont Trop de gestion tue le social), Jacques Donzelot (qui écrira plus tard le célèbre La Police des familles), Michel Foucault qui tend à démontrer que le capitalisme, avec la justice et la police, approfondit sans cesse la coupure entre le prolétariat et le sous-prolétariat car leur jonction serait « un dangereux ferment d’émeutes » (le travail social s’emploie en quelque sorte à faire entrer la plèbe non prolétarisée dans le prolétariat, en incitant à respecter les valeurs bourgeoises). Le numéro évoquait aussi les travailleurs immigrés, le syndicalisme dans le service social. Il reproduisait également le témoignage de Josette d’Escrivan, une assistante sociale licenciée par la Croix-Rouge française pour être venue en aide à un prisonnier étranger dans la prison de Fresnes. Affaire que j’ai traitée à l’époque dans un cadre syndical pour faire connaître cette affaire et tenter d’annuler le licenciement, en rencontrant, en vain, le président national de la dite Croix-Rouge. Je dois publier prochainement à ce sujet un article dans la revue Les Temps du social, éditée par le Groupe de recherche sur l’histoire du service social (GREHSS). Je reproduirai ultérieurement cet article sur mon blog. Enfin, le GITS (Groupe d’information des travailleurs sociaux, né suite à l’inculpation d’éducateurs de prévention à Besançon refusant de dénoncer un jeune ayant blessé un autre lors d’une bagarre) précise qu’il n’est pas un groupe de défense des intérêts des travailleurs sociaux mais un lieu de prise de conscience des ambiguïtés du secteur éducatif et social, en vue de soutenir chaque professionnel qui s’est solidarisé avec un usager. Certes la révolution n’est pas prête, mais l’adage léniniste est rappelé : « lorsqu’en bas on ne veut plus, et lorsqu’en haut on ne peut plus, la situation devient mûre… ».
. Assistantes sociales en lutte 1990-1992, le succès trente ans après !
Agrandissement : Illustration 3
Au tout début des années 1990, le refus de l’État de reconnaître leur diplôme à sa juste valeur conduit les assistantes sociales à s’engager dans un fort mouvement de révolte, avec collectifs de lutte, grèves et manifestations. Cristina De Robertis en a retracé le récit dans un ouvrage récemment paru, le premier édité par l’ANAS. J’en ai rendu compte dans un billet (Assistantes sociales en lutte) lorsqu’elle l’a présenté à l’Institut de Travail Social de Pau en octobre 2021.
Billet n° 691
Le blog Social en question est consacré aux questions sociales et à leur traitement politique et médiatique. Parcours et démarche : ici et là. "Chroniqueur militant". Et bilan au n° 600.