Chaque année début août, on commémore les horribles dégâts humains causés par ces deux explosions, auxquelles la légende attribue la fin des hostilités en Asie.
Nul doute que cette contre-vérité fera de nouveau florès sous la plume et dans la bouche de commentateurs « autorisés », qu'aucune contradiction ne leur sera opposée, et que "l'utilité" des arsenaux atomiques ne sera pas mise en cause.
"La bombe sale, une hypothèse terrifiante et peu probable", titre assez inquiétant d'une analyse publiée par Nathalie Guilbert en page 20 de l'édition datée du 2 mai 2016 du quotidien Le Monde. En exergue, son résumé : « L'engin serait un assemblage d'explosifs et de composants, déchets industriels, médicaux ou issus de réacteurs de recherche ».
Le 26 avril 2016, trente ans après l'accident de Tchernobyl, Arte a diffusé Tchernobyl, Fukushima : vivre avec. Avec l’apparence d’un travail d’investigation rigoureux, le message est clair : certes, une terrible catastrophe, mais 30 ans après des experts ont montré aux populations des régions contaminées comment s'adapter à leur environnement. Quels intérêts servent-ils ? Nous le dévoilons ici.