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Le blog de Yves Romain
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Assassinat des secouristes à Gaza : les informations publiées par Haaretz
Haaretz rend public des détails complémentaires à l’enquête de l’état-major. Les soldats ont tiré sans interruption pendant plus de trois minutes même à bout portant, rechargeant à plusieurs reprises, malgré les tentatives des secouristes de s'identifier. Ces informations ont été transmises au procureur militaire pour ouverture d’une enquête criminelle. Yaniv Kubovich. -
La Cour suprême doit défendre Ronen Bar contre Netanyahou: sa «parole ne vaut rien.»
Netanyahou a « tenté de détourner le Shin Bet de ses objectifs légaux ». Il a demandé à Ronen Bar de faire « preuve de loyauté envers lui personnellement plutôt qu'envers l'État. » Bar a refusé d’obéir et de céder aux pressions personnelles et politiques. Il l’a fait « malgré le prix élevé (...) pour garantir l’ indépendance professionnelle de l’agence ». La Cour doit défendre le chef du Shin Bet. -
Les révélations sous serment de Ronen Bar: plutôt de l’ordre d’une enquête criminelle
« Que des mensonges » ! Netanyahou ne s’en sortira pas par une pirouette d’autant que « tout Israélien lucide sait qui est le menteur ». Il n’avait pas prévu la force de la résistance du chef du Shin Bet : sous serment devant la Cour suprême, une petite partie publique, 31 pages classifiées... Plutôt qu’une accusation d’abus de pouvoir « une enquête criminelle » est plus appropriée. Yossi Verter. -
Netanyahou devrait répondre d’abus de pouvoir
Au vu du contenu de la déclaration sous serment du chef du Shin Bet, le Premier ministre « représente un danger clair et immédiat pour la « démocratie chancelante d’Israël ». La Procureure générale et la Cour suprême devraient profiter de la « brèche » ouverte par Ronen Bar pour déclarer Netanyahou « inapte à poursuivre son mandat. » Gidi Weitz. -
Netanyahou veut des gens à sa botte. La déclaration sous serment du chef du Shin Bet
«Benjamin Netanyahou a lancé une guerre pour démanteler la démocratie israélienne. Il veut transformer les services de renseignement en une sorte de police secrète (...). Il attend (…) qu'elle lui obéisse exclusivement…» : déclaration sous serment du directeur du Shin Bet, Ronen Bar. Dans ce contexte dégradé, la guerre génocidaire à Gaza, le nucléaire iranien sont à surveiller de près. Amos Harel. -
Des lettres qui ignorent « l'humanité des Palestinien.nes »
Alors que les Palestinien.nes sont affamé.es, pilonné.es, visé.es jusque dans leurs tentes, les enfants brûlés vifs, les lettres des réservistes l’ignorent. «C'est un acte clairement politique.» Sont-elles écrites «par désir de se laver les mains»? Sauver les otages sans sauver les Palestinien.nes en vie alors «les lettres n'ont aucune signification.» Hanin Majadli. -
Manifestez mais sans les images d’enfants tués à Gaza ; sans le mot génocide
Jeudi prochain une manifestation contre la guerre doit avoir lieu à Tel Aviv. Selon un document obtenu par Haaretz et transmis au mouvement arabo-israélien Standing Together les manifestants ne devront pas exhiber des pancartes avec des images de bébés et enfants tués à Gaza ni afficher le mot génocide. La police va à l’encontre de ses promesses auprès de la Haute Cour de justice. Josh Breiner. -
Kichinev 1903 : des bébés jetés par les fenêtres - Gaza 2025 : des bébés brûlés vifs
« Contrairement à Kichinev, à Gaza, les bébés ne sont pas jetés par les fenêtres. Mais ils sont brûlés vifs. » dans une zone soi-disant « sûre ». Est-ce « moins choquant ? » ; « Les émeutes de Kichinev font partie d'une journée ordinaire pour l'armée commandée par Eyal Zamir à Gaza ; les horreurs du 7 octobre y sont comparables à un mois ordinaire. » Gideon Levy, Haaretz. -
« mourir ou accepter d'être expulsés. » À Gaza ce sont les civil.es qui sont visé.es
« L'utilisation du mot « guerre » pour décrire ce qui se passe à Gaza est trompeuse et déformée. Ce qui se passe à Gaza n'est pas une guerre. Il s'agit d'une attaque israélienne débridée contre des populations qui, pour la plupart, ne participent à aucune activité hostile. » Il ne reste aux gazaouis que deux options : « mourir ou accepter d'être expulsés. » Jack Khoury. -
Famine à Gaza : que fait la France ?
Six semaines que l’extrême droite messianique veille à ce que l’aide alimentaire ne reprenne pas. Mais aussi les familles d’otages et disparus qui attendent que «les portes de l’enfer» s’ouvrent. Un chantage politique inutile est en place : tant que les otages sont retenus pas d’aide. Les familles, les enfants, les mères, les vieux, les pauvres en paient le prix fort. Que fait la France ?
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