La crise financière que connaissent aujourd'hui les associations culturelles bretonnes, confrontées à la baisse des subventions, doit conduire à nous interroger sur le modèle que nous connaissons. Mais avant tout, il importe de questionner le système centralisateur qui accorde 90% des subventions publiques dans le domaine culturel à la région parisienne.
La crise financière que connaissent aujourd'hui les associations culturelles bretonnes, confrontées à la baisse des subventions, doit conduire à nous interroger sur le modèle que nous connaissons. Mais avant tout, il importe de questionner le système centralisateur qui accorde 90% des subventions publiques dans le domaine culturel à la région parisienne.
Après l'affaire de Betharram, une autre affaire de "violences éducatives" est sortie dans la presse, celle du collège Saint-Pierre au Relecq Kerhuon près de Brest où venaient s'échouer les jeunes en perdition scolaire. On partait du principe que la violence viendrait à bout de leurs carences. C'était une autre époque qu'on ne peut plus comprendre aujourd'hui.