Eux se sont mis à poil pour témoigner de la situation sanitaire dont ils sont aussi les victimes.
Éric Tricot, infirmier anesthésiste à l'hôpital Henry Mondor de Créteil, accuse et demande aux politiques de se taire, il ne les supporte plus.
Sophie, infirmière à domicile, accuse. Elle accuse le président de non-assistance aux soignants en danger de mort et d’envoyer son armée blanche sans armes. Elle accuse le gouvernement d’être responsable du génocide des bouses blanches. Elle accuse et prévient.

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Anne-Sophie parle des auxiliaires de vie sociale et aides à domicile. Elle ne décolère pas et s’adresse à Macron et Salomon pour réclamer encore et encore du gel et des masques. Elle les invite à venir partager un peu de leur quotidien, sans masque évidemment.
On n’oubliera personne ! Un médecin dénonce la composition de la commission d’enquête. Il a honte et se porte volontaire pour coordonner les plaintes.

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Christophe Prudhomme, porte-parole des médecins urgentistes, fait un état des lieux consternant et prévient, lui aussi, de ce qui va tomber sur la tête des décideurs à la fin du film.
La colère d'un infirmier au CHU Henri Mondor de Créteil contre Macron et le gouvernement.

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Caroline Fiat, aide-soignante, députée, s’adressait à ses collègues de l’Assemblée en juillet 2017. Aujourd’hui, elle est au front.
PS :

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