Dans ce billet, je souhaite mettre en parallèle la très récente table ronde, tenue au ministère de la Santé, sur les risques de dérives, dans le champ de la santé mentale et l'observation faite il y a 50 ans, d'une organisation à caractère sectaire, par le journaliste Alain Woodrow (1).
Roger Ikor est un écrivain français, né en 1912 et mort en 1986 (1). Emprisonné pendant la Seconde Guerre mondiale, il obtient le prix Goncourt en 1953. D'origine juive mais athée, il s'engage dans la lutte contre les sectes, à partir de 1979, quand son plus jeune fils se suicide, après avoir fait partie d'une mouvance sectaire, autour du "zen macrobiotique".
Je recopie ici intégralement un amendement sénatorial au Projet de loi de financement de la Sécurité Sociale 2026. J'ignore s'il survivra jusqu'au vote définitif de la loi.
Si vous craignez qu'un proche soit sous emprise mais estimez ne pas avoir assez de preuves matérielles pour déclencher une enquête de police, vous pouvez avoir recours à un détective privé comme Benoît Judde.
Un article récent de Mediapart et une chronique de la radio Ici Béarn montrent que la question du consentement et de l'emprise peut aussi se poser à des jeunes hommes victimes.
"L'Amour et les forêts" est à la fois un grand livre (1) et un grand film (2) sur l'emprise mentale, notamment amoureuse. Je vous conseille de lire ou voir les deux, car ils sont différents. Toutefois, je n'ai pas envie de dévoiler leurs trames.