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Artiste, Écrivain, concepteur d'innovations sociales et technologiques
Revel, 38420 - France
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Le pire n’a pas d’avenir
À propos du blog
L'anthropophagie macabre est dans quel état ?
« Il n'y a plus d'êtres humains,
mais d'étranges machines qui se cognent les unes contre les autres. »
Pier Paolo Pasolini
Il nous fut donné de1…
ne point nous penser là où surgit l'obscène, dans le théâtre de l'exhibition de la pauvreté, et de ses martyrs, il nous fut donné de ne point agir.
L'insaisissable, la furtive image des vies écrasées par la lunette médiatique d'une pensée unique s'ébroue dans un flot d'émotions. Il nous fut donné de n'avoir aucune compassion pour la scène de Saint-Sébastien, pauvre hère sans destin, qui dans les déserts de terres et de mers, arpente son destin transpercé par les flèches de la finance et leurs incontournables trajectoire assassines.
Il meure jusqu'à l'âme de son cœur de chaire en naufrage à Kiev.
l'humanité disparue, engloutie par les vagues, dans le plus oublier des cimetières. Elle alla rejoindre « la mémoire » sa sépulture, dans les charniers des pires atrocités de son histoire.
Un homme objet sortit des grottes, les yeux aveuglés de lumière. L'incroyable se produisit dans le cahot décor de la ruine; «… nous avancions tous dans une unique direction vers l'incontournable précipice. l'abîme s'ouvrit sous nos pieds, devant nous.
Paralysé de peurs aucun de nous ne savait penser, nous savions seulement obéir aux ordres, dont le premier commandement fut de Dieu. – « Tu aimeras ton prochain comme toi-même! »
L'impensé
Le prochain, le Sébastien 2, ne tarda point à ouvrir ses bras
« Charitables » – Le geste était donné, chacun fit à autrui ce que l'on lui fit et tous obéir ainsi aux commandements suivant, « tu ne tueras pas » ; Sébastien 2 prit alors un bâton de pèlerin, celui usé sur les sentiers abrupte de l'espoir religieux.
Sur Terre comme sur mer il progressait en lignes droites sans qu'aucun obstacle ne puisse l'écarté de la matrice des reproductions. L'utérus pourtant souffrait dans les traces de la rédemption. Le rachat du peuple des femmes était un effort financier qui ne pouvait appartenir au plus simple des hommes contemporain. Sébastien 2 le savait, Il abandonna le bâton pour le fusil. Dès qu'il s'en fut saisie, il se dit : - « Cette arme est inutile, il n'y a plus vie, alors à quoi bon se défendre d'un ennemi invisible? »
Il prit femme à qui il écarta le vagin où il s'introduisit.
Ce fut sans blessure qu'elle se releva et prit à son tour le fusil. La crosse et son canon de fer l'atteignit jusqu'à la structure même de sa construction ; elle se dit : - « je ne peux pas combattre l'ignominie avec l'arme au poing. »
Devant elle se tenait les acheteurs. Leurs regards d'acier parcouraient les silhouettes nues des hommes et des femmes, celles des enfants et des adolescentes aussi. Tout ce matériel humain étaient regroupés sur le tarmac et formait une foule perdue aux confins de la raison.
Elle ne put rien dire de ce qu'il l'attendait, elle savait l'ordre qui serait donné à toutes les femmes.
Sébastien 3, le modèle le plus sophistiqué, vint à elle â pas lents et posés. Il se saisit du fusil, et sans relâché l'arme il prit la mesure du drame avec ce nouvel étalon sous les orbites des jumelles d'or et d'ivoire qui servaient d'outils de recrutement aux acheteuses de main-d'œuvre enfermées à la tour de contrôle. Une femme mise à nue écarta ses lèvres sans ménagement et les offrit aux regards de la pitié. C'était sans compter sur la disparition des cœurs au profit de l'orgueil des acheteuses. Sébastien 3 était atteint par cet empoisonnement, Il retourna l'arme sur lui. Là, à cet instant, l'obséquieux décoré au grade de la mort, ordonne que les débris du gisant soient stockés au profit d'une reconversion politico-financière dans une décharge marine.
La conversion du pape François 1er
l'Archiprêtre au débarras de la Consommation, a lui aussi fait ça ; se convertir au Femens.Avec ses saints Il sera bien le porteur de la cause des femmes en colère contre tous les religieux, et les patriarches. François Ier sera leur porte voix à travers le monde.
Au Vatican, il mène campagne auprès de ses cardinaux pour les convaincre du merveilleux de ces femmes au sein nus capables de les bouleverser.
Enfin une apocalypse d'un autre genre s'affiche au mur de la Chapelle Sixtine. La Sibylle de Cume, victoire du papier glacé, avance bras tendu, coup de poing donner au ciel. Le martyre est à son comble, quand l'homme objet à ses pieds verse larmes du repentir.
François, accompagné de sa star compagne du crucifix, présente au peuple la femme adorable au sein maternel, au ventre généreux ouvert sur le monde.
Le pape des femmes, comme ont l'appelle dans les salons du Vatican, détient une vérité qu'il a volé au Femens, mais peu lui importe, ce qui compte c'est le nombre de fidèles !
Il ira sur le chemin de Compostelle donner du corps à son esprit. Il a compris que dans son harem la multiplication des Femens est l'avenir de sa communauté. Il écarte les jambes des souillons impures et s'introduits dans chacun des sexes offert à sa passion de reproduction de la Femen. Certains disent qu'il ressemble à un polygame comme Poutine, Sarkozy et Hollande, Ah, j'avais oublié Obahma. et toute sa clique,... mais lui, le pape des pauvres était un Illuminati avant l'heure, –« les loges je les connais bien et pour vous en convaincre je vais donner des interviews à des journalistes admiratifs, prosternés à mes pieds et qui me demanderont d'écouter l'homélie du martyre de l'homme objet.
Dans sa lettre aux païens, il racontait sa compassion pour la femme adultère, la prostituée, l'ouvrière servile à la solde de son propre patron, lui qui exerce son droit ancien, celui de « cuissage »
François se rend souvent dans les gouffres de l'empire du mal, dans L'obscurité des dégoûts de la femme pour l'homme autocrate. Il n'oublit pas de parler â la ménagère, la femme offerte à son mari viril. « Elle fut violer un soir de soûlerie», Écrivait-il, « Elle se sentait souillée , mais soutenue par la papauté des pauvres, Je lui donnait la bénédiction et l'invitait à rejoindre mon harem.»
François, Collectionnait les photos des magazines féministes, il en avait tapissé la chambre qui lui servait de lieu de repos â sa compassion infinie, mais aussi d'expression de son désir de piété, celle qui lui arrachait des gerbes de foutre de masturbations offertes aux icônes de son adoration. Elles sont retardées parfois à la lecture d'un article de presse : _ « … Dans un marché de Bujumbura, la capitale du Burundi, des commerçantes ont manifesté seins nus devant des douaniers et policiers, l’air ahuri. Les forces de l’ordre s’apprêtaient à saisir des pagnes importés illégalement, Lorsque la main du Pape les retint fermement.
Les mama-Benz faisaient fortune. Elles avaient gagner la confiance des jeunes femmes éprisent de célébrations du culte du corps faisant d'elles les nouvelles poupées Barbie.
L'autorités coloniales, désarmées, ne pouvaient plus recourir à la manière forte. On ne massacrait plus les femmes, cela aurait fait scandale; elles le comprirent très vite et, fortes de leurs audaces, elles se rallièrent au protecteur à la main de fer au gland de velours ».
La Femen idéalisée est un faire-valoir du Pape, figure centrale garant du dogme et auteur des récits de de la conversion. C'est sous les cieux féminins de la Victoire de Samothrace, que les Grecs nous lèguent avant l'heure l'image d'une féminité ensorceleuse.
Le rôle de sorcières est attribué à des déviants sociaux dont le pouvoir est craint. Toutes les femmes sont des déviantes de la norme mâle de l'humanité, un point d'accord souligné par la théorie de "l'homme illégitime" d'Aristote et Thomas d'Aquin, le dogme de "l'envie du pénis" des freudiens, et d'autres théories psychologiques telles que "l'espace intérieur" d'Erikson et "l'anima" de Jung. Les Femens désignées comme sorcières sont suspectées d'avoir un pouvoir provenant de savoir particulier, comme les "sages'' femmes qui connaissent les vertus curatives des herbes, et auprès des qu'elles les déçu de la pharmacie industrielle viennent chercher de l'aide.
Pensées comme le mal, elles sont les boucs émissaires de la société, et ce faisant, la morale dominante en est renforcée. L'Inquisiteur fonctionnait comme le protecteur de la société contre la déviance contre les comportements déviants menaçants, car puissants.
« Chaque femme possède sa beauté intérieure, mais le vulgaire ne sait pas la découvrir » ainsi s'exprimait François aux parisiens, ... « il est beaucoup sûre et facile de compter sur les vices de l'homme que sur ses spirituelles attaches ». Ce constat qui a fait ses preuves, va pousser les manipulateurs domestiques, les politiques et publicitaires à atteindre des dérives capable de faire échouer le vieux bâtiment du Vatican et les édifices du culte du patrimoine laïc.
La femme et son image n’échappe pas à la noyade, dans ce tourbillon, elle se retrouve plongée en son sein. Après dernière guerre, elle est assimilée à la fée du logis, toujours derrière, bien à l'arrière plan de la vie publique, dans l'eau de vaisselle, les couches à laver, le repassage… et puis elle se presse à l'usine, au bureau. La publicité la prend pour cible et lui vante le miroir idéale d'une une ménagère moderne qui s'accomplit dans la propreté de son intérieur avec les nouvelles casseroles où mijote le bon goût du terroir, au foyer de la bonne éducation de ses enfants.
Elle est l'égérie des arts ménagers où se fonde l'apparition de nouvelles consommations, à même de soulager les frustrations sexuelles. L'orgasme fait figure de parent pauvre de l'amour rare. Le Féminin se soumet au sexe masculin avec fidélité dans le lit conjugal bercé par les ondes de nouveaux slogans des propagandes de la réclame toute naissante. « y a bon banania ».
Le chocolat à la tête souriante du gentil noir aurait-il introduit de nouveau fantasmes ? Ou bien est-ce que la consommation, a entraîné une nouvelle pauvreté, celle qui devait alors être compensée par les revenus du corps prostitué en déchéance humaine ?
Le pays manquait cruellement de main-d’œuvre pour son industrie, les femmes, et les hommes devaient travailler pour le régime capitaliste en plus de faire des enfants.
L'extermination juive avait trié l'ivraie du grain. Le bon pape apprenait de ses idoles à classer les femmes rentables et celles qui ne le sont pas. L'Argentine, la terre de prédilection de François, lui avait permit d'exercer son pouvoir de complicité avec l'état dans la disparition des enfants de femmes en révoltes contre le régime.
Simone de Beauvoir avait fait surgir de ce tragique tableau « le deuxième sexe » La femme doit-elle être la seconde de l'homme ? - Nous demandait-elle.
Dans la compétition de la mondialisation les femmes, se sont soumises á l'enrichissement du capital, Maintenant elles ont des corps atrophiés par les calculs de ceux qui se partagent les richesses du monde. Les lois du tout « À vendre » entraînent les populations dans un défi, où, la femme rentable se mesure à sa capacité de s'adapter aux nouvelles formes d'esclavage et de conditionnement.
François, savait parler aux femmes; La machine a fabriqué du doute au pays quand le ciel te paraîtra trop vaste, la mer immense fera alliance avec sa voûte et t'inquiétera au plus profond de ta raison, tu tournera le dos à ce paysage et tu quitteras la côte, t'en remettant aux conditions ordonnées par le marché du prêt à consommer, tu te retrancheras entre quatre murs, hélas sans fenêtre. Tu demanderas à l'isolement d'apaiser le vide qui se creusait en toi pour éteindre les rumeurs de l'agitation fébrile de tes désarrois. Quand au détour du chemin, sous la lune d'un soir de tes passions, l'amour te paraîtra trop vaste, tu l'empoignera et dans des complots bordés de barbelés tu l'enfermeras. Le mentir-vrai viendra ternir ton existence, ruinera ton bonheur d'aimer, quand le mensonge, celui que tu te racontes, aura raison de tes élans...Quand tu produiras les alibis du vrai mentir, tu seras subordonnée au bon fonctionnement de la machine d'intégration, tu fabriqueras le modèle de ta solitude par consentement au contrat social entraînant la perte de ta liberté.
Quand, au manège des chevaux de bois, ton enfant te semblera trop heureux, trop rayonnant, tu lui pardonneras d'obéir á ses caprices. Tu désarçonneras sa désobéissance, son refus de quitter la monture, quand donnant soudain un coup sec à son cheval effarouché il prendra l'allure folle des égarements _ tu affirmeras ton autorité.
La machine a fabriqué du doute, en ton fort intérieur,
quand un soir, tu allais rejoindre la nuit, tu la trouvais trop sombre et tu l'enferma dans tes rêves, dans les flots d'images de cauchemars des jours où tu subissais les pires humiliations de la femme battue _ tu confiais à ton sommeil la construction de la machine à fabriquer du doute, de la confusion.
A ton réveil tu reviendras à la raison des soumissions á l'ordre de ta condition d'isolée , quand dans tes bras, tu croiseras l'immensité de l'amour perdue, tu le trouveras trop brûlant, trop persistant _ tu le confieras au teinturier, celui qui lessive tes larmes amers de regrets. Il aura soin de te faire femme-objet conditionnée sous vide quand l'immensité des paysages t'aura revêtue de blanc parcouru par les vents.
Tu trouveras l'hiver trop froid, trop glacial. Congelée, tu iras chercher refuge dans les forêts encombrées de mystères. Là, l'immense étendue des nuits épaisses te couvrira du linceul d'éternité, ta dernière
ADB
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La guerre intérieur
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La tragédie de l'ombre A l'instant de solitudes bordées d'orages Tu ouvres la bouche de prières au-dessus des cadavres où se reflète le cercle d.azur. Au yeux de l'enfant où l'innocence fait grimacer la guerre, tes paumes ouvrent les cœurs, sèchent ses larmes. -
L'anthropophagie
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