L’arrestation d’une jeune fille de 15 ans pendant les manifestations anti-Kabila du 15 novembre a suscité l’indignation sur les réseaux sociaux et dans l’opposition.
La première journée ville morte a été peu suivie en République démocratique du Congo (RDC) ce mercredi. L’opposition conteste la récente publication du calendrier électoral qui reporte pour une seconde l’élection présidentielle.
En fixant les prochaines élections au 23 décembre 2018, la Commission électorale congolaise (CENI) a réussi pour la seconde fois le tour de force de reculer les échanges électorales, tout en ménageant la communauté internationale et en laissant l’opposition politique déboussolée.
Les casques bleus congolais qui ont servi au sein de la Minusca en Centrafrique affirment ne pas avoir touché l’intégralité de leur prime. Sept militaires seraient détenus depuis 3 mois pour avoir protesté sur Facebook.
La Commission électorale (CENI) a fixé la date des prochaines élections générales au 23 décembre 2018. Mais le président de la CENI n’a guère rassuré sur la fiabilité de ce calendrier, tant les contraintes techniques, financières et sécuritaires sont importantes.
750 millions de dollars provenant des revenus de la Gécamines ne peuvent pas être tracés « de manière fiable » dénonce un rapport du Centre Carter. L’argent a été utilisé « à d’autres fins ».
Le général de brigade Étienne Mbunsu Bindu percevait un tiers de la production d’or d’une mine du Nord-Kivu, selon Global Witness. Un business pourtant interdit par la loi pour les militaires et les hauts fonctionnaires.
Entre 2013 et 2016 plus quarante jeunes filles ont été enlevées et violées dans un village du Sud-Kivu. Un procès décisif dans la lutte contre l’impunité au Congo.