Massacrée à Gaza à la veille de l’Aïd, elle a rejoint les milliers de petites étoiles qui brilleront chaque nuit et viendront questionner nos consciences. Est-ce que cela vous parle, Monsieur « en même temps » ? Non ? Vous avez piscine aujourd’hui ?
Sylvie Kandé raconte en 3 chants l’épopée des migrants d’hier et d’aujourd’hui, du roi malien Bata Manden Bori, descendant de Soundiata Keïta, aux migrants qui fui fuient la misère et finissent au fond de l’Atlantique et de la Méditerranée. En quête de l’autre rive, celui qui se noie toujours s’agrippe à l’eau.
Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie. Cette plaie, donnons-lui un nom, c’est l’indifférence devant les problèmes à résoudre. Et la France est heureuse d’être trompée. Que pouvait-on jeter sur un tel tableau ? Un voile ou un peu de lumière. À d’autres le voile ! (Albert Londres)
Citation génocidaire du ministre de la défense israélien Katz et traduction d’un tract génocidaire largué jeudi matin par les avions de « l’armée la plus morale du monde » sur la population de la bande de Gaza
CAPJPO-Europalestine publie une copie de la lettre adressée au Défenseur des Droits, Claire Hédon, sur des propos relevant de l’apologie de crimes de guerre et génocide tenus par Barbara LEFEBVRE sur i24. L’ARCOM reste muette, comme le gouvernement français, pourtant si prompt à engager des poursuites pour « apologie de terrorisme » contre ceux qui défendent les droits des Palestiniens.
Venez filmer, en tant que journaliste, un individu qui brandit un drapeau Palestinien en appelant à la fin du génocide et vous êtes naturellement accusé d’antisémitisme. Mais venez brailler à la télé que les civils de Gaza sont tous des terroristes et qu’il faut vider de force la bande de Gaza de sa population et personne ne s’émeut. Heil Bibi !
L’association de défense des droits du peuple palestinien CAPJPO-Europalestine publie ce matin dans son bulletin quotidien d’information le billet suivant, relayant la parole univoque des génocidaires israéliens, les merdias français pratiquant dans ce domaine une omerta complice et criminelle.
L’article 2 de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide, adoptée par l’assemblée générale des Nations unies le 9 décembre 1948 et l’article 6 du Statut de Rome de la cour pénale internationale, adopté en 1998, donnent une définition précise du crime de génocide en 5 points. Cocher une case est suffisant. Israël en coche au moins 3.
Dans un billet publié sur mon blog en septembre 2021, je mettais l’accent sur les petits gestes pouvant engendrer des changements considérables dans la vie des populations qui n’ont aujourd’hui plus que le (faux) espoir de l’émigration. Voici une proposition concrète ciblant la formation des infirmiers au Sénégal.