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Le blog de anouka

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Depuis quand…
D’opposer, de diviser, de contrôler les espoirs, les désirs et le partage de tous les âges. Gâchis, trahison, écrasement de l’espoir, du flux de vie. Osons inverser la brisure des lignes indécemment imposées. -
Trions, soyons écologiques, trions les humains !
Billet d’humeur, pas drôle, non. Pour ce que les mots disent de nos cruautés. -
D’être vivants pour les morts. D’être des survivants...
Jamais le juste compte, la bonne addition. Compter, compter les morts, pour le vivant oublier. Ces morts, à toi, à moi. Non pas le mien, le tien. Dans la mort, à égalité ? -
Un oubli ?...
Qu’à force de dénoncer et de prôner l’individualisme, comme une fatalité, on oublie l’essentiel. Oui, l’autre, cet autre moi que l’on ne connaît pas. Qui nous dit souvent ce que l’on est. De l’un à l’autre. Avec patience, écoute, admiration, agacement, confrontation. Cet insondable échange qui n’est pas Narcisse. Qui nous dit le meilleur de nous-même, révélé. Et le pire, parfois. Aussi. -
Le grand nettoyage !
Parce que le printemps nous réveille, nous appelle, et souvent nous malmène. Saison des vents contraires et contrariés. Qui dépoussière et libère. Des peines, des pensées maussades, des colères non dites. Impuissante révolte. Les mots, couleur du vivant, de leur musique rebelle ou piquante, peuvent encore, en humaine dignité, nous toucher, nous apaiser. -
De tic et de toc !
Les verbes du politique, caprices du pouvoir. Je veux, je veux, je veux. Pour l'enfant, on ose reformuler : je voudrais, j'aimerais. Et parfois advient le souhait... et la femme ! 8 mars oblige ? -
La France silencieuse...
Des formules "choc", trompeuses et nocives. Quand ceux qui sont ciblés ne peuvent répondre... Bousculés dans l'empilement des discours, les mots perdent leur sens. Le sens est dévoyé. La cible malmenée. Billet d'humeur. Pour ne pas mépriser le silence. Pour que le silence ne soit pas méprisant.