La véritable société celle qui valorise le fond les singularités la créativité agonise pour faire place à la société du spectacle où la tyrannie du paraître est la norme valorisant le conformisme la médiocrité.
En sus de la crise politique, pas un jour ne passe sans que l'écologie ne soit évoquée.
Un thème crucial qui nous rappelle que nous devons prendre soin de la terre mère , qui est notre source de vie et d'inspiration.
La vallée des fleurs met en évidence les bienfaits qu'apporte la nature aux êtres clairvoyants et doués de raison.
Dans cette vie où tout va si vite, rarement nous prenons le temps de contempler, de déguster nos journées.
Pourtant le temps ce bien si précieux a une valeur immense. Nous sommes trop pris dans la nébuleuse et la triade métro,boulot,dodo. À courir sans cesse, nous oublions de vivre , de faire l'éloge du plaisir, nous existons seulement.
L'argent a toujours joué un rôle peu ou prou essentiel dans nos sociétés mais hélas depuis que le capitalisme est devenu le modéle dominant, l'argent dette est devenu sa seule et unique viatique.
Une critique virulente et désacralisante à travers ce texte sur l'argent dette qui ne fait que croître les inégalités, la pauvreté dont l'oligarchie en est la principale responsable.
Un regard critique sur la surconsommation qui a engendré pléthores de souffrances en faisant de la possesion de l'avoir les finalités.
Comme si la vie n'avait de sens uniquement sous un prisme où l'argent le profit sont les seules pitances.
Hélas nous sommes nombreux à avoir delaissé l'être qui sert de boussole et qui est la véritable source de joie de vivre , de bonheur.
Énamouré par les livres, les mots et cette ineffable langue de Molière par laquelle j'ai été subjugué. Permettez moi de lui rendre un vibrant hommage à travers ce texte.
Ce texte est destiné à l'enfant, représentant le présent mais surtout le futur. Pour nous adultes, parents, ils sont nos miroirs et nos maîtres.
Il est de notre devoir de les préserver des turpitudes des immondices et de la maltraitance.
Ils sont des modèles d'ataraxie.
Mencius affirmait dans une mirifique citation: " grand est celui qui n'a pas perdu son coeur d'enfant."
Comme disait Paul Desalmand: "il n’y a vraiment que deux choses qui puissent faire changer un être humain : un grand amour ou la lecture d’un grand livre. " À travers ce texte il s'agit de la lecture , lire c'est se redécouvrir et cheminer vers des horizons aux parfums de la liberté et de la libération de l'esprit.
Un texte que j'ai écrit s'inspirant de mes experiences personnelles et qui sera je l'espère , de la sève pour les personnes touchées par un handicap.
Philosophique , il est un baume pour les êtres en quête de sens et d'espoir.